Altiservice confie la formation de son personnel à SWiTCH

Nous avons l’immense plaisir de vous informer que SWiTCH étend cet hiver son champ d’intervention dans les Pyrénées !

Le groupe Altiservice – gestionnaire des domaines skiables d’Artouste, Gavarnie, Guzet, Luchon, Font Romeu et Saint Lary – vient en effet de confier à SWiTCH la formation de ses forces de vente. Les hôtes et hotesses de caisse de ces stations vont donc pouvoir développer leurs compétences en matière d’accueil de la clientèle et se familiariser avec les techniques d’affirmation de soi pour faire face aux comportements difficiles de certains clients.

La fréquentation 2008-2009 des domaines skiables passée à la loupe

A l’aube de la saison d’hiver 2009 – 2010 et pour la 4ème année consécutive, le SNTF a analysé un certain nombre de paramètres en lien avec 200 entreprises adhérentes pour aider les opérateurs de domaines skiables à se positionner les uns par rapport aux autres, mais aussi pour mieux faire connaître les réalités des métiers de la montagne à leurs différents partenaires.
 
Ces résultats se fondent sur la collecte annuelle d’une centaine de données par entreprise et sont disponibles ici ! Vous y retrouverez notamment la saison 2008-2009 passée au peigne fin, l’évolution des journées skieurs, l’évolution des recettes par journée skieur, l’évolution comparée des coûts de la profession, la taille des opérateurs de domaines skiables, les chiffres pour les domaines skiables en Europe et dans le monde, les taux de fréquentation étrangère des stations françaises, des indicateurs sociaux, etc. Bref, une mine d’informations !
 
Bonne lecture.
 
Source : SNTF

SWiTCH est Membre Correspondant au SNTF

Nous avons le plaisir de vous informer que le Comité Directeur du Syndicat National des Téléphériques de France a agréé SWiTCH en qualité de Membre Correspondant lors de sa séance du mercredi 7 octobre 2009.
 
Pour information, la Syndicat National des Téléphériques de France, est la chambre syndicale des opérateurs de domaines skiables. Il a été créé en 1938 et avant pour objectif de permettre aux quelques exploitants de téléphériques existants (le premier de ceux-ci étant apparu en 1928 en France) d’échanger des idées au sujet de leurs entreprises et d’étudier les problèmes tant techniques qu’administratifs que soulevait ce mode nouveau de transport. Cet organisme s’est progressivement développé en même temps que se multipliaient les appareils de « transport par câble » et les pistes de ski desservies. Aujourd’hui il fédère 374 adhérents répartis entre environ 225 membres actifs (opérateurs de domaines skiables), 4 membres actifs Holding et 145 membres correspondants (fournisseurs, constructeurs, cabinets de conseil, centres de formation, maîtres d’œuvre, etc.).

Le nouveau classement hôtelier : nouveautés et critères d’exigence

Mercredi 23 septembre 2009, Brigitte Montserrat, Responsable des affaires réglementaires de l’UMIH, présentait, à la Chambre de commerce et d’industrie de Grenoble, les grandes lignes du nouveau classement hôtelier.

Ce nouveau classement remplace le référentiel de 1986. Il distingue cinq catégories d’hôtels allant de 1 étoile à 5 étoiles et concerne les établissements proposant au minimum six chambres. Il n’est pas obligatoire, les hôteliers choisissent donc d’être ou non classés. Le classement est accordé pour une durée de cinq ans et le référentiel est lui-même révisable tous les cinq ans.

La grande nouveauté est la création de la 5ème étoile, qui est la marque d’un service personnalisé pour une clientèle exigeante et souvent internationale. Elle doit permettre à l’hôtellerie française d’affirmer sa place en matière de prestation haut de gamme.

La sensibilisation des collaborateurs à la gestion économe des déchets, de l’eau et de l’énergie est obligatoire pour toutes les catégories.

Les exigences-clés par catégorie d’hôtel :

Hôtel 1 étoile

Accueil physique garanti Au moins 8 heures par jour.
Espace de vie minimum 20 m².
Surface des chambres « single » 8 m².
Surface des chambres « double » 9 m².
Équipement sanitaire Lavabo dans toutes les chambres.
1 salle de bain ou de douche + WC pour 8 chambres.

Hôtel 2 étoiles

Accueil physique garanti Au moins 10 heures par jour par une personne pratiquant une langue officielle européenne.
Espace de vie minimum 30 m².
Surface des chambres « single » 8 m².
Surface des chambres « double » 9 m².
Équipement sanitaire Salle de bain ou de douche + WC pour 4 chambres ou dans 75 % des chambres.
Paiement Acceptation de la carte de crédit.

Hôtel 3 étoiles

Accueil physique garanti Au moins 12 heures par jour par une personne pratiquant une langue officielle européenne.
Espace de vie minimum 50 m².
Surface des chambres « single » 11,5 m² sanitaires compris.
Surface des chambres « double » 13,5 m² sanitaires compris.
Équipement sanitaire Salle de bain ou de douche + WC pour 4 chambres ou dans 75 % des chambres.
Boissons Service de boissons non alcoolisées pendant les horaires d’ouverture de l’accueil.

Hôtel 4 étoiles

Accueil physique garanti Présence de personnel pratiquant une langue officielle européenne :
– 12 heures si 30 chambres maximum
– 24 heures sur 24 si plus de 30 chambres
Intégration de critères qualitatifs dans l’accueil
Espace de vie minimum 70 m².
Surface des chambres « single » 14 m² sanitaires compris.
Surface des chambres « double » 16 m² sanitaires compris.
Équipement des chambres Chambres équipées tout confort (accès Internet et chaînes de télévision internationales, bureau, climatisation).
Autre Site Internet traduit au moins en une langue étrangère.

Hôtel 5 étoiles

Accueil physique garanti Présence de personnel pratiquant deux langues étrangères dont l’Anglais :
– 12 heures si 30 chambres maximum
– 24 heures sur 24 si plus de 30 chambres.
Espace de vie minimum 90 m².
Surface des chambres « single » 20 m² sanitaires compris.
Surface des chambres « double » 24 m² sanitaires compris.
Services Services personnalisés (room service, blanchissage…).
Possibilité de dîner à l’hôtel 5 jours sur sept.

Remarque : L’espace de vie englobe le hall d’accueil, l’espace bar, la salle de petit-déjeuner et les salons.

Source : ROULET Christiane, Le nouveau classement hôtelier, 09/10/2009, Grenoble Ecobiz – Communauté Tourisme

Statistiques en temps réel sur Facebook


 
Pour les fans de chiffres, CheckFacebook est à votre disposition ! Ce site permet d’obtenir, en temps réel, des statistiques intéressantes sur l’utilisation d’un des plus célèbre réseau social au monde. On y découvre ainsi les pays qui ont le plus fort taux de pénétration, les pourcentages d’utilisateurs par pays, le profil des utilisateurs (Homme/Femme, tranches d’âge), etc. C’est bien pratique – et même ludique ! – pour savoir qui et où sont vos lecteurs et vos cibles potentielles.
 

 
Pour les accros aux stat’, Statcounter pourra aussi vous fournir une mane d’informations utiles sur les moteurs de recherche, les plates-formes mobiles, les navigateurs, etc. Là encore, il est possible d’obtenir un classement par région du monde.
 
A vos calculettes !
 
 
 Source : Kinoa

SWiTCH devient membre de 1% Pour La Planète !

« Aujourd’hui, seulement 5 % du mécénat d’entreprise va à l’environnement. Il ne s’agit pas de vendre la nature, mais d’expliquer qu’elle a un coût et qu’elle mérite un financement ».
Nathalie Kosciusko-Morizer, Secrétaire d’Etat à l’Ecologie

Et comme le dit si bien le fondateur de One Per Cent For The Planet, et accessoirement PDG de Patagonia Inc., Yvon Chouinard : « Sans planète viable, il n’y a ni actionnaire, ni profit, ni employé. Il n’y a aucun profits à faire sur une planète morte ».

Chez SWiTCH, nous avons bien compris que la pérennité de notre entreprise – mais aussi celle de nos principaux clients ! – est directement liée à l’état de la planète. C’est pourquoi nous avons décidé d’assumer notre part de responsabilité dans sa préservation. Nous sommes donc fiers de pouvoir vous annoncer que nous sommes officiellement membres de cette association depuis le 1er octobre 2009.

1 % pour la planète est un mouvement mondial qui regroupe, depuis 2002, plus de 1260 entreprises dans 29 pays. Chacune d’entre elles versent 1 % de leur chiffre d’affaire à un réseau international de plus de 1800 associations protectrices de l’environnement, pour soutenir leurs équipes et leurs actions. Ainsi, lorsque nos clients choisissent SWiTCH, ils contribuent aussi en partie à l’action de ces associations ! Elle est pas belle la vie ?! 🙂

Parce qu’une image vaut milles mots, voici un petit film pour expliquer tout ça :

Neige de culture ou nuage de culture ? (en anglais)

Ce matin, nous avons découvert un article tout à fait surprenant sur les méthodes d’enneigement des stations de Winter Park et de Vail, toutes les deux situées dans le Colorado (Etat américain, dont je me sens obligée de rappeler qu’il ne manque vraiment pas de neige naturelle …) :

Denver Water, in partnership with Winter Park Resort, will be helping clouds produce greater amounts of snowfall this winter. Denver Water and the resort will be seeding moisture-laden clouds with silver-iodide particles released into the sky to increase snowfall. Cloud seeding, a form of weather modification, is the attempt to change the amount or type of precipitation that falls from clouds, by dispersing substances into the air that serve as cloud condensation or ice nuclei, which alter the microphysical processes within the cloud. Seeding clouds has long been a practice of Vail Resorts, but this will be the first year Intrawest’s Winter Park Resort is buying into the procedure.

Joe Busto of the Colorado Water Conservation Board calls the partnership history-making. « We have never had a 50-50 water manager-ski area program before« , he said. « It’s what I’ve been hoping for for many, many years« .
It and Denver Water are sharing the $110,000 cost of the project, which will take place in locations within 35 miles of the ski area. The expected increase in snow is about 10% to 15%. If you do the math that’s about 35 extra inches, on the low end, of snow for Winter Park this winter. The project is slated to take place during the months of November, December and January, according to Steve Schmitzer, manager of water resource analysis for Denver Water.

Meanwhile, a supporting $60,000 cloud-seeding project will take place from November through March in the same area coordinated by the Colorado Water Conservation Board and water users from the lower Colorado River basin states of Arizona, California and Nevada. The cooperation and funds supplied by lower basin users to set up two high-elevation remote generators in Winter Park helped to make the project possible, Schmitzer said. Colorado River stakeholder involvement came out of 2007 negotiated water agreements to « work together on projects rather than fight together« , Busto said. From the generators, minute amounts of silver iodide are sprayed across a propane flame, allowing the silver iodide particles to rise into the clouds. The silver iodide causes the could moisture to freeze and create ice crystals, which then grow large enough to fall as snow. About 10 Winter Park-Denver Water financed generators will be located on mostly private properties, and will be turned on and off depending on weather conditions and the presence of moisture-producing clouds. The two other generators will be located in higher areas and managed remotely by computer. The project involves a meteorologist who will determine appropriate times for cloud seeding. The quantities of iodide present in runoff due to cloud seeding equates to less iodine that what is found in salt on food, according to report on cloud seeding during the 2008 Arizona Weather Modification Conference. There is also more silver exposure found in tooth fillings, and there have been no human effects from cloud seeding found in 40 years of research, the report reads. By participating in the program, Winter Park Resort hopes added snow means a greater number of powder days — even an extension to the snow season.

Snow is man-made on just 10 percent of the resort’s 3,000 acres. « With cloud seeding, it’s hoped there will be an additional amount of snow throughout the area« , said Doug Laraby of Winter Park Resort. « The more snow you have, the better our product is. It’s good for the economy and river waters ».
 
 
Chez SWiTCH, on reste très perplexe face à ce type de méthodes…
 
 
Source article : Ski Paradise
Source photo : www.educonline.net

[Propagande] « Les pros des Alpes devraient te supplier »

Hier, j’ai eu une JDM* comme on dit dans le jargon switchien. Ca n’arrive pas souvent, mais comme tout le monde, ça arrive. En procédant à ma connexion quotidienne pour prendre le pouls de ma communauté d’ « amis facebookiens », j’ai découvert un petit message qui a véritablement transformer tout le reste de ma soirée en une immense fête :

Merci beaucoup Francis ! J’espère que « les pros des Alpes [qui] devraient [me] supplier » t’entendront.

* JDM = Journée de M**de

Journée Droit et Montagne

Etant juriste de formation, j’ai été sensible à l’annonce de cet événement, même si je ne pourrai malheureusement pas y participer.

Le 13 novembre 2009, la Cour d’Appel de Chambéry organise la première Journée Interprofessionnelle Montagne et Droit au Centre de Congrès Le Manège.

La Montagne est bien un espace sauvage et naturel tout en étant un univers économique et un bassin de vie réel. Le droit, régulateur de ces différentes activités, ne peut pas ignorer ce territoire. C’est la raison pour laquelle universitaires, professionnels du droit et de la montagne, ainsi que des représentants des services déconcentrés de l’Etat interviendront sur les thèmes suivants : « existe-t-il un droit de la montagne ? », « le contentieux des activités sportives en milieu montagnard : civil, pénal et administratif, comment s’y retrouver ? », « l’encadrement des sports de montagne », « les loisirs motorisés en montagne ». Autant de problématiques rencontrées au quotidien par les professionnels de l’économie montagnarde, que des intervenants de qualité s’efforceront d’éclaircir dans une volonté affichée de vulgarisation.

Source : La Lettre Economique Montagne Expansion