La pyramide de la viralité ou comment créer une campagne de communication virale efficace

Le bouche-à-oreille permet depuis des millénaires un échange d’information. Aujourd’hui le web a bouleversé ce schéma de transmission de l’information. N’importe qui a accès à n’importe quelles conversations. Dans cette logique, toute idée soumise peut être analysée et partagée. Mais quels sont les facteurs d’une propagation optimale de l’information ?

L’erreur commune est d’imputer la viralité d’une idée à sa qualité. « J’ai partagé cette vidéo car elle est intéressante et m’a fait rire ». Ce postulat est faux. D’autres facteurs, plus « scientifiques », permettent d’assurer une bonne transmission du message.

En effet, l’approche générale des médias sociaux tend à mystifier le phénomène de « buzz ». Les recommandations superficielles telles que d’engager la conversation, de dorloter sa communauté, ne suffisent plus. Alors, peut-on vraiment contrôler ce phénomène de propagation ? Le modèle de Dan Zarrella, intitulé « Hierarchy of Contagiousness », nous montre que c’est possible.

Les marques peuvent aujourd’hui optimiser leurs « brand content » afin d’amplifier leur caisse de résonance. Voici les deux étapes à ne pas manquer :

  1. Être exposé sur les médias sociaux : plus vos comptes Facebook, Twitter, Pinterest, etc. seront développés et suivis, plus votre message sera visualisé.
  2. Motiver les internautes à partager ce contenu. L’implication est la clé ! Plus le contenu est percutant, plus il sera relayé. Le « call-to-action » parachève ensuite l’incitation via un lien clairement visible qui indique l’action à effectuer (« Acheter », « S’inscrire » ou encore « Télécharger »)

Si la viralité d’un contenu n’est pas une science exacte, elle peut être largement encouragée !

Sources : Brian Solis et Dan Zarrella

[SWiTCH Initiative] Decades – Part 1, The Rowan Tree : le documentaire « crowdfoundé » de Chris Redman et Matt Lemche

Où serons-nous dans dix ans? Qui serons-nous devenus ? Dans quel état physique et moral serons-nous ? En quoi croirons-nous ? Aurons-nous réalisé nos projets ? Et quels seront nos projets pour l’avenir ? Se demander ce que l’on sera devenu dans la décennie à venir est une question que beaucoup de gens se posent. Mais filmer des interviews sur ce que l’on sera véritablement devenus, c’est pour le moins un projet original que les canadiens Christopher Redman et Matthew Lemche ont démarré en mai 2002. Le temps est passé et il est désormais l’heure de faire le point sur ce projet.

En mai 2002, Christopher Redman et Matthew Lemche ont débuté la réalisation de la première moitié d’un documentaire tout à fait singulier : des scènes et des entretiens avec leurs futurs « eux-mêmes ». L’objectif de ce projet était de s’auto-interroger sur leurs propres croyances, leurs identités respectives, leurs buts dans la vie et surtout comment ils allaient évoluer au cours de la décennie à venir. Ils invitent ainsi le spectateur à s’interroger sur le sens de sa propre vies et à se remettre en question pour prendre les bonnes décisions. Pour eux, « choisir la vie, c’est choisir l’aventure ! »

Ils se sont donnés rendez-vous dix ans plus tard, le 3 mai 2012, en Islande pour tourner la suite et faire le point sur ce qu’ils sont vraiment devenus. Pour être certain que les deux compères se présenteraient bien au rendez-vous, ils se sont même fait tatouer le lieu et la date. « Pour nous assurer que le film serait vraiment bouclé un jour, nous avons convenu de nous retrouver dans un lieu choisit au hasard pour terminer les interviews et les scènes. Une fléchette a été lancée sur une carte et, comme par hasard, elle a atterri sur la pointe nord de l’Islande ! Pour garantir absolument que nous serions bien là, nous nous sommes chacun fait faire le même tatouage. » explique Christopher Redman.

Au fil des années, le tatouage est devenu plus qu’un contrat entre les deux protagonistes. Il s’est transformé en point de départ de centaines de conversations aux sujets multiples : les croyances religieuses, la peur du changement, les projets de vie, le vieillissement de leurs corps et surtout leurs engagements. Ce dernier mot s’accompagne de beaucoup de craintes dans l’esprit de certaines personnes. Eux ont découvert que l’engagement quel qu’il soit – dans le travail, en amitié, en amour et surtout dans leurs projets de vie – leur simplifie réellement les choses. Finalement, ces tatouages les ​​ont tranquillement guidé à travers la dernière décennie et ont servi de rappel constant de l’endroit d’où ils viennent et vers où ils veulent aller.

Il y a quelques jours, Christopher Redman et Matthew Lemche ont démarré une campagne de crowdfunding pour les aider à terminer le travail dans de bonnes conditions. Le projet a beaucoup plu et ils ont pu lever près de la moitié des fonds en moins de trois jours. Si vous voulez les aider à terminer ce documentaire, c’est ici !

Et vous, que serez-vous dans dix ans ?

Stratégies de communication digitale pour les marques internationales : « Think global. Act local. »

Plus le monde est connecté via les réseaux sociaux, plus il devient petit… Aujourd’hui, une stratégie 2.0 efficace c’est aussi une stratégie locale. Comment valoriser la proximité pour booster l’engagement de vos fans et de vos followers ? Pourquoi la localisation améliore l’engagement des internautes sur les média sociaux ?

Nombreuses sont les marques qui adoptent une stratégie 2.0 globale. Le partage de contenu est alors majoritairement en anglais. Cette approche des médias sociaux est erronée. Les marques perdent de nombreuses opportunités en termes de résonnance et d’engagement utilisateur.

Certes, il est nécessaire d’être présent en tant qu’entité globale sur la toile. Mais de plus en plus de marque adoptent en parallèle une stratégie locale (selon leur pays de prédilection). Dans une optique d’interactions toujours plus importante, la localisation est la clé !

Les internautes expriment de plus en plus leur besoin de proximité avec les marques. Cette relation de confiance ne peut être développée que si l’on s’implique localement. Starbucks l’a bien compris. La célèbre enseigne de café est présente partout sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, YouTube…) via des comptes « officiels ». Mais la marque a également créée des comptes Starbucks selon les pays. Vous pouvez par exemple devenir fan de la page « Starbucks France » et partager du contenu « local ». Vous saurez alors exactement ce qu’il se passe dans le Starbucks près de chez vous. D’après une étude, leur feed-engagement est 10 à 15 fois supérieur à une marque relayant un brand content en anglais uniquement. Identification et engagement assurés pour Starbucks !

Translated.net a publié récemment son « T-index report » qui donne un top 10 des pays pour la vente en ligne. Cette projection d’ici à 2015 est étonnante. Avec ses 18% de part de marché (contre 11% en 2011), la Chine serait amenée  à détrôner les Etats Unis d’ici peu. Le brésil devrait également progresser en arrivant à la 4e place (+43% entre 2011 et 2015). Ses projections démontrent que la localisation est une réelle stratégie. Il devient vital d’avoir une équipe locale dédiée à l’engagement de la communauté pour, in fine, améliorer les ventes.

Si une stratégie 2.0 globale assure une prise de parole unifiée et cohérente, une stratégie de localisation améliore définitivement la résonance et l’engagement client. En somme, «Think global. Act local.» !

Sources : Brian Solis & Seth Godin

Les 12 accessoires du hipster

Beaucoup de personnes nous ont demandé ce qu’était un « hipster ». Nous vous proposons aujourd’hui un début de réponse.

Ce terme des années 1940 était utilisé pour parler des amateurs de bebop. Celui qui se voulait être un hipster adoptait alors le mode de vie des musiciens de jazz, leurs codes vestimentaires, leur langage, leur attitude « cool », leur humour sarcastique,  etc.

Le terme hipster a été réactualisé dans les années 1990 et 2000 pour décrire les jeunes hommes et jeunes femmes issus de classes sociales plutôt aisées, instruits et vivant en ville. Ils s’intéressent la mode avec une touche « rétro » revendiquée et rejettent les attitudes « ignorantes ou incultes » du consommateur lambda. Ils sont friands de culture dite « non-mainstream », souvent en provenance des milieux indépendants anglo-saxons. Cela correspond, par exemple, au rock indépendant, à la musique alternative et électronique, aux films dits « d’auteurs », aux tendances culturelles émergentes en matière de jeux, de sites Internet, de graphisme et d’art dit « underground« . Leurs valeurs communes sont la pensée indépendante, la contre-culture, la politique progressiste, la créativité, l’intelligence, un humour acide et décalé.

Vous voulez devenir un hipster ? Voici les 12 accessoires de base à adopter.

Et vous, êtes-vous un hipster ?

Source Hipster : ici.

[Booklub] Startup Weekend : 54 heures pour créer une entreprise !

Les excellentes Editions DIATEINO publient le 22 mars prochain Startup Weekend : 54 heures pour créer une entreprise, un ouvrage co-écrit par les trois fondateurs de Startup Weekend. Ces évènements permettent aux participants de former des équipes pour monter leur start-up… en un weekend !

Clint Nelsen, Franck Nouyrigat et Marc Nager rassemblent dans ce livre les meilleurs conseils et pratiques directement inspirés des expériences vécues par les participants. Quelles sont les méthodes de travail gagnantes ? Comment former une équipe ? Comment créer une start-up en lean ? Quelles sont les clés du succès ? Conseils des organisateurs, retours d’expériences, témoignages d’entrepreneurs, album photo : cette édition française enrichie, préfacée par Pierre Kosciusko Morizet, co-fondateur de Price Minister, vous permet de découvrir un véritable phénomène qui touche à présent plus de 45 000 participants !

Profitez d’une offre de lancement jusqu’au 22 mars 2012 et recevez le livre en avant première en commandant directement ici : 14,95 € au lieu de 18 € !

Le webmarketing pour les débutants (En une image)

Vous souhaitez faire vos premiers pas dans le joli monde du webmarketing, mais vous ne savez pas par où commencer ? Alors cette infographie est pour vous ! Vous trouverez dessus tous les outils et techniques classiques, mais néanmoins nécessaires, pour construire une stratégie marketing online efficace : l’e-mailing, les campagnes CPC (ex : ad words), le référencement naturel, le marketing sur les média sociaux, le brand content, les outils de mesure de l’efficacité de vos campagnes, etc.

Le principal atout de cette infographie est qu’elle présente les bases du webmarketing de façon ordonnée. Vous n’avez donc plus qu’à suivre les étapes les unes après les autres, en les adaptant aux spécificités de votre business.

Maintenant, c’est à vous de jouer !
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