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Marketing et médias sociaux (Résultats d’étude et notes de lecture)

Nous parlons régulièrement des médias sociaux et de leur application dans une stratégie marketing. Michael A. Stelzner a récemment réalisé une étude, afin de mieux comprendre ce phénomène. Allier les médias sociaux et le marketing permet de promouvoir un site web, un blog ou un produit en créant une nouvelle relation avec les consommateurs/internautes. Cette étude montre les bénéfices apportés par cette tendance. Elle se penche aussi sur les différentes manières de gérer sa relation aux médias sociaux en tant que marketeur.

Nous vous avons concocté un résumé de cette étude, mais la version intégrale est consultable ici.

SWiTCH sur Wikipédia… pendant 2 minutes !

C’est la fin de la semaine et l’humeur est à la blague cet après-midi au cabinet. Pour plaisanter, on a voulu savoir si on pouvait figurer sur Wikipédia, « l’encyclopédie collective établie sur Internet, universelle, multilingue et fonctionnant sur le principe du wiki« . Une page « switch«  existant déjà, on a donc simplement apporté notre pierre à l’édifice. Le temps de mettre le tout en ligne, de rafraîchir la page et d’avoir le plaisir de constater le résultat… et hop ! La mention avait déjà disparu !

On ne plaisante pas avec l’encyclopédie de Jimmy Wales. La capture d’écran ci-dessus sera donc l’unique souvenir de notre présence furtive* sur l’un des sites web les plus consultés au monde. 😉

Bon week-end à tous.

* sur la 6ème ligne… désolé pour la piètre qualité de l’image.

Le design d’un site web n’est pas qu’une affaire d’artiste! (Série « Web » – 1/10)

Nous démarrons aujourd’hui une nouvelle série d’articles sur Internet en abordant pour commencer le design des sites web. Trop de sites sont confus ou illisibles parce que conçus en termes d’esthétique et non d’ergonomie. Le lecteur aborde un site Internet d’une manière bien précise ou quitte tout simplement la page s’il ne s’y retrouve pas. Il s’agit donc de garder votre originalité pour le contenu et non pour la structure.

La conception d’un site se réalise avec sa tête et non plus avec ses yeux. Une page se décompose en plusieurs parties qui n’ont pas toutes le même rôle. Il s’agit de positionner les éléments importants au bon endroit, le cas échéant ils ne seront pas lus par le lecteur.

Pour les occidentaux, la lecture d’un site pour la première fois se fait sous forme de « Z », avec un intérêt très faible pour le bas de la page.

Une fois la structure adoptée, la règle de choix des couleurs est simple : 7 différentes au maximum afin de garder une certaine clarté. Attention toutefois aux significations des couleurs choisies : le rouge ou noir ne sont pas toujours positifs !

Enfin on doit retrouver la même structure sur toutes les pages, en évitant de les charger d’animations flashs ou de trop de publicités afin de ne pas distraire le lecteur. Éviter aussi la sur-utilisation de majuscules.

Le webdesign n’est donc pas réservé aux artistes, mais bien ouvert à tous, alors à vos claviers !

Crédit image: Superbibi

[Propagande] On est toujours des clowns !

Depuis l’arrivée de notre nouvelle stagiaire Julia, le blog de SWiTCH n’a jamais été aussi prolifique. En moins d’une semaine, ce n’est pas moins de 6 articles qui sont en attente de relecture et de mise en ligne. Avec tout ça, on en aurait presque oublié de vous parler de la dernière campagne de pub qui fait un sacré buzz sur le web, comme dans la rue : Jesuisunclown.com.

Il y a quelques jours, les franciliens ont pu découvrir une campagne d’affichage atypique et particulièrement bien exécutée dans les rues et le métro parisien. Elle interpèle et invite les passants à se connecter sur le site web dédié qui a été créé pour l’occasion. Site web unipage, très bien réalisé lui aussi ! Mais que se cache-t-il derrière cette déclaration ?

Des gens comme nous. Peut-être même comme vous ! Bref, des gens qui ont, un jour, fait le choix de sortir des chemins tout tracés pour créer leur boîte et vivre leur rêve. « Vouloir faire les choses autrement, ça fait toujours rire les autres (au début) », peut-on lire en haut du site web. En ce qui nous concerne, on a plutôt entendu : « C’est impossible » ou encore « Ce n’est pas pour vous » et ma préférée « Vous êtes fêlés« . On a fait marrer tout le monde en 2005 quand on a parlé de notre premier projet (notre tour du monde des stations de ski). 18 mois plus tard, c’est nous qui nous nous étions bien marrés ! En 2007, quand SWiTCH a été créé, beaucoup de gens nous ont snobé… à commencer par les banques ! Trois ans plus tard, ces mêmes personnes s’adressent à nous avec respect (…et nous propose des produits financiers très avantageux !). Quant à nous, on a pas changé : on est toujours des clowns ! 😉

Alors s’il vous prend l’envie de suivre vos rêves là où ils vous emmènent et de monter votre entreprise, ne retenez qu’une chose : faites la sourde oreille et marrez-vous bien !

Optimisez votre e-réputation !

Lorsqu’on tape le nom d’une organisation sur un moteur de recherche toutes sortes de liens ayant plus ou moins de rapports avec son activité apparaîssent. Sachant qu’un prospect ou un potentiel partenaire commercial n’ira certainement pas plus loin que la première page de résultats proposés par Google, il est nécessaire de fournir des informations sur l’entreprise qui le séduiront plutôt que des pages neutres ou peu valorisantes.

Gérer son image de marque sert à augmenter sa visibilité et à maîtriser le contenu de ce qui est publié au sujet de son organisation sur le web. Faire le choix de la passivité face à son e-réputation, c’est être plus vulnérable. A la moindre erreur, le nombre de commentaires critiques à l’égard d’une entreprise ou d’une organisation risque fort d’être plus élevé que le nombre de remarques positives. A l’inverse, il est possible de gérer son e-réputation afin d’orienter le lecteur vers des contenus contrôlés par soi-même, comme son propre site web ou ses pages communautaires sur les médias sociaux.

La création pour son organisation d’un profil ou d’une page fan sur des médias sociaux comme Facebook, Twitter, Viadeo ou encore LinkedIn, permet un référencement plus pertinent, grâce à la popularité du média social en lui-même. Du reste, le seul fait d’enregistrer le nom de son organisation évitera que quelqu’un d’autre le fasse à votre place créant ainsi une confusion dans l’esprit du public ou, pire, diffusant une mauvaise publicité.

La modification des paramètres de ces pages ou profils permet de les rendre visibles uniquement par le public ciblé ou, au contraire, à une plus large audience. Ces espaces de communication peuvent aussi être l’occasion d’insertion de liens vers des témoignages, des articles de presse ou des communiqués positifs sur votre activité, accroissant ainsi votre crédibilité. Une autre solution consiste en la réservation de tous les noms de domaines se rapprochant du votre, afin de garder le contrôle de votre image. Mais cela engendre des coûts importants.

En situation de crise, lorsque les critiques fleurissent sur la toile telle un feu d’artifice, tout n’est pas perdu. L’important est d’ouvrir le débat avec ses clients et d’être à leur écoute. Mettre en place des plateformes d’échanges pour que le débat ne se fassent pas en dehors de chez vous, et surveiller les fausses informations qui circulent sur vous afin de pouvoir les contrer rapidement, permet de rétablir la vérité et de garder sa crédibilité.

Enfin, pour savoir tout ce qui se dit sur vous sur le net, des outils de veille par mots clés existent. Yahoo, Google ou encore Twitter proposent gratuitement de tels services. Et gardez ceci en tête, si des problèmes de réputation surgissent, c’est bien souvent parce que les clients n’ont pas eu l’opportunité en amont de vous contacter directement. Rester accessible par e-mail ou par téléphone est sûrement la meilleure solution pour éviter la dégradation de sa réputation.

Pour en savoir plus, nous vous recommandons le guide de la gestion de l’e-réputation de Camille Jourdain.

Sources : Le Monde, Indixit, Epic PR et Superbibi
Photo : The Reputation Balloon

SWiTCH lance son site web en Allemand

Depuis la semaine dernière, vous avez peut-être remarqué que deux petits drapeaux ont pris place en haut à droite de votre écran lorsque vous visitez notre site web. Grâce à notre traductrice de choc, Ulrike « Uli » Muench, les visiteurs germanophones peuvent désormais lire dans leur langue de prédilection.

La version in English ne devrait pas tarder à voir le jour…

Bis gleich !