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C’est cadeau !

A tous les porteurs de projets, les intrapreneurs, les entrepreneurs, les jeunes chefs d’entreprises, voici à quoi va ressembler votre vie dans les prochaines semaines/mois/années…

Ne nous dites pas merci, c’est Noël, donc c’est cadeau ! 😉

The relative joy of entrepreneurship

 

SWiTCH Initiatives – ITW de Christophe Hermitan, fondateur de Synpeak

Sportif de haut niveau, Christophe Hermitan a décidé de mettre à profit son expérience d’athlète au service des enjeux de la forme et de bien-être en entreprise. Il a fondé l’entreprise Synpeak en 2012 avec Marie Aufranc. Leur but : intégrer le sport en entreprise et suivre les acteurs de l’entreprise dans leur bien-être personnel. Interview.

SWiTCH : Bonjour Christophe, vous avez 15 secondes top chrono pour vous présenter !

Christophe Hermitan : Bonjour, j’ai effectué une formation STAPS sur Grenoble, puis Lyon pour obtenir un master en préparation physique et mentale. Après une carrière de sportif de haut niveau, j’ai entrainé l’équipe de France de ski cross jusqu’en 2008, puis j’ai été préparateur physique dans un club de rugby professionnel. Ma passion du haut niveau m’a amené à monter mon entreprise. Je suis associé avec Marie Aufranc, diplômée de l’ESSEC Paris, qui était membre de l’équipe de France de ski alpin. Nous avons aujourd’hui pour objectif d’amener les valeurs et outils du sport de haut niveau au service des entreprises. Nous avons créé notre entreprise en novembre 2012. L’été 2013 a marqué la vraie mise en route.

SWiTCH : Comment vos proches ont-ils réagi à l’annonce du projet ?

Christophe Hermitan : Nous avons un entourage dynamique, donc nous avons été rapidement soutenus. Nous avons des profils d’entrepreneurs. En effet, en tant qu’athlètes de haut niveau nous avons la responsabilité de gérer notre propre carrière comme on le ferait pour une société. C’est donc un beau challenge de pouvoir monter notre entreprise !

SWiTCH : Quelle est votre clientèle actuelle et que leur proposez-vous ?

Christophe Hermitan : Ce sont les petites et moyennes entreprises, ainsi que les grands comptes en région Rhône-Alpes, à Genève, et également à Paris. Au sein d’une même entreprise, nous avons plusieurs types de clients : les dirigeants, les DRH, les managers, mais aussi les salariés. Nous considérons les salariés et les dirigeants comme des athlètes. Ainsi, nous leur apportons tous les conseils afin qu’ils soient les plus performants possible dans leur travail : gestion du sommeil, activité physique, alimentation, équilibre mental…

Nous désirons aussi développer le sport en entreprise. Nous proposons des séances de sport en entreprise pour pouvoir améliorer la qualité du travail. Notre offre s’étale du service d’activités physiques à l’accompagnement pour l’aménagement d’une structure sportive à l’intérieur de l’entreprise.

Enfin, nous organisons des séminaires d’entreprise, du team-building, des challenges sportifs.

SWiTCH : Comment mesurez-vous vos résultats ?

Christophe Hermitan : Nous avons des outils d’évaluation. Nous pouvons déterminer le niveau physique et de stress d’une personne. Nous avons suffisamment de recul pour savoir si les gens sont en zone critique ou d’équilibre.

SWiTCH : En quoi le sport est-il important dans le management des entreprises ?

Christophe Hermitan : Le sport de haut niveau est une exigence, le symbole de la performance qui se retrouve au sein d’une entreprise au service des salariés et des managers. Aujourd’hui nous utilisons tous les outils et méthodes que l’on pouvait utiliser avec des athlètes de haut niveau, outils d’analyse, de suivi et techniques d’accompagnement pour la santé, le bien-être et la gestion du stress, que nous adaptons pour aller vers la performance de l’entreprise.

Le sport est un moyen de cohésion et de fidélisation. Nous essayons de faire en sorte que l’entreprise soit un lieu de travail agréable et que les gens vivent l’entreprise un peu différemment. Ce phénomène existe déjà beaucoup dans les pays anglo-saxons.

SWiTCH : Y a-t-il un réel besoin aujourd’hui ?

Christophe Hermitan : La vision par rapport à la santé du dirigeant et du salarié évolue beaucoup. Cette question est au cœur des débats actuels. Dans les pays anglo-saxons ces dynamiques sont déjà bien intégrées dans les entreprises. Avec tous les moyens de communication et le rythme imposé aux salariés, il est aujourd’hui indispensable de penser à la santé des ressources humaines de l’entreprise. Il y a un réel bénéfice pour l’entreprise ainsi que pour le bien-être des salariés à intégrer ces dynamiques.

SWiTCH : Quelles sont les valeurs de votre entreprise ?

Christophe Hermitan : Engagement, entraide et performance. Le nom Synpeak vient de « synergie » et de « peak » (= sommet). C’est la synergie pour atteindre des sommets en réunissant des forces pour faire évoluer la personne.

SWiTCH : Quels sont vos outils de communication actuels ?

Christophe Hermitan : Nos outils de communication sont principalement la presse et les réseaux sociaux professionnels (LinkedIn, Facebook, Google Plus).

SWiTCH : Quelles ont été vos plus grosses difficultés depuis l’idée du projet d’entreprise ?

Christophe Hermitan : Nous sommes en phase de développement donc nous n’avons pas encore connu de réelles difficultés.

SWiTCH : Quelle a été votre plus grande satisfaction depuis la création de l’entreprise ?

Christophe Hermitan : Notre plus grande satisfaction est de se dire que nous sommes dans l’aire du temps et en cohérence avec le contexte et les questions d’actualités soulevées par les médias : Absentéisme, burn-out, etc…

SWiTCH : Comment voyez-vous Synpeak dans les cinq prochaines années ?

Christophe Hermitan : Dans 5 ans, nous désirons être la référence du sport d’entreprise et de la formation santé / bien-être à travers le sport dans la région Rhône-Alpes.

SWiTCH : Quels conseils donneriez-vous aux personnes désirant créer leur entreprise ?

Christophe Hermitan : Je conseille d’être patient. Monter une entreprise est équivalent à la préparation d’un événement sportif important. Il y a une longue phase de préparation avant d’arriver au but. Nous rencontrons plein d’aléas pendant cette phase de préparation. Il faut toujours savoir rebondir, être patient et s’entourer des bonnes personnes. Je conseille également d’être organisé dans la création de son entreprise.

SWiTCH : Quelle est la question qu’on ne vous a pas posée et que vous auriez aimé qu’on vous pose ?

Christophe Hermitan : Nous développons également une application qui permet d’avoir un accompagnement et un suivi à distance des dirigeants et des salariés après nos interventions : conseils sur la diététique, sur l’hygiène de vie, accès à une messagerie interne avec leur coach, etc…

Nous travaillons également actuellement avec le Centre des Jeunes Dirigeants sur la mise en place d’interventions, de formations et de séances de sport pour les dirigeants.

 

SWiTCH : Merci Christophe, et bonne continuation !

SWiTCH Initiatives – ITW de Laurent Surbeck, PDG de Montagne TV

Envie d’en savoir plus sur les entreprises qui font bouger le monde de la glisse et du tourisme ? Dans le cadre des SWiTCH Initiatives, nous mettons en lumière des gens passionnés, qui créent des produits ou des services directement inspirés de leurs pratiques sportives. Avec près de deux millions de téléspectateurs, Montagne TV est la nouvelle « chaîne qui monte, qui monte » ! Nous rencontrons aujourd’hui son PDG, Laurent Surbeck.

SWiTCH : Peux-tu nous en dire plus sur ton parcours ?

Laurent Surbeck : Je suis né et j’ai grandi en région parisienne mais depuis tout petit j’ai développé une passion sans borne pour la montagne et son univers. Entre le ski en hiver et les vacances d’été, j’ai appris à découvrir cette culture, cette histoire.

Parallèlement, j’ai suivi un cursus supérieur dans une école de commerce et me suis rapproché assez naturellement des média. J’ai eu la chance de travailler dans de grosses structures comme le groupe Lagardère, NRJ et TV8 Mont-Blanc. Ce fut une aventure humaine extraordinaire. En 2008 j’ai souhaité me lancer en solo et j’ai crée ma propre société de production OXO-Media. C’est à ce moment que l’aventure Montagne TV a débuté…

SWiTCH : Comment l’idée de cette chaîne 100% dédiée à la montagne est-elle née ?
Laurent Surbeck : Depuis quelques années cette idée trottait dans la tête de Jean-Philippe Caille. A l’époque des premiers essais de TV sur le web, il avait déjà déposé le nom de domaine Montagne TV. Et puis en 2010, étant tous deux de vrais passionnés de montagne, nous avons décidé de nous lancer dans cette aventure et de redonner vie au projet.

SWiTCH : Quelle est ta plus grande satisfaction en tant que chef d’entreprise ?
Laurent Surbeck : Je pense que c’est le fonctionnement de la chaîne. Elle est exactement comme nous l’avions imaginé, c’est-à-dire une chaine de qualité avec de vrais experts dans leur domaine. Et puis, notre aventure ne s’achève pas ici, l’objectif étant de développer la marque Montagne TV.

SWiTCH : Quelles ont été les principales difficultés depuis le début de l’aventure ?
Laurent Surbeck : Sans hésiter, la plus grosse difficulté est de maîtriser le développement, de savoir dire non à certaines opportunités qui se présentent, de prendre le temps de se développer. Faire des choix, prendre des risques, ce sont des tâches indissociables de la fonction d’entrepreneur. Par ailleurs, comme toutes les chaines de télévision, nous devrons prévoir l’avenir de la diffusion, de la consommation de la télévision.

SWiTCH : Comment vois-tu Montagne TV dans 5 ans ?
Laurent Surbeck : La chaîne sera de plus en plus internationale, à la fois en termes de diffusion mais également en termes de réseaux de correspondants.

Elle sera aussi de plus en plus innovante. De nombreux projets d’envergure sont à l’étude concernant la science-fiction, la 3D, la création de programmes courts toujours plus innovants.

D’une manière générale, je souhaite que nous soyons présent sur l’ensemble de l’univers de la montagne (relais d’informations touristiques, relais de vente de produits de montagne, etc.). Décliner au maximum la marque Montagne TV est l’un de nos objectifs.

SWiTCH : Un conseil pour des jeunes entrepreneurs qui souhaiteraient créer leur société ?
Laurent Surbeck : Selon moi, la bonne formule consiste à suivre son idée créatrice et à s’entourer en amont d’un cabinet d’expertise qui pourra analyser et créer un prévisionnel. Toutefois, on ne peut jamais prévoir de quoi demain sera fait. Il faut avoir foi dans l’innovation et défendre son projet jusqu’au bout. Mes derniers conseils seraient de ne jamais croire que l’on peut tout faire tout seul et de rester humble en écoutant et en apprenant sans cesse des gens qui nous entourent.

SWiTCH : Y a t-il une question que l’on ne t’a pas posée et que tu aurais aimé que l’on te pose ?
Laurent Surbeck : Concernant mon projet personnel peut-être. Aujourd’hui mon objectif est de continuer à construire cette chaine avec un peu moins de moi. Même si le challenge me passionne toujours autant, il ne faut pas personnifier une société. Selon moi, chaque entreprise devrait pouvoir exister sans son fondateur. C’est la suite logique !

Et puis, j’aurais davantage de temps libre pour mes projets personnels : repartir en montagne, écrire un livre,…

SWiTCH : Merci Laurent et longue vie à Montagne TV !

 

 

SWiTCH Initiatives – ITW de Pilou Sassi de White Cristal

Envie d’en savoir plus sur les entreprises qui font bouger le monde de la glisse et du tourisme ? Dans le cadre des SWiTCH Initiatives, nous mettons en lumière des gens passionnés, qui créent des produits ou des services directement inspirés de leurs pratiques sportives. Aujourd’hui nous rencontrons Pilou Sassi, co-fondateur de White Cristal.

SWiTCH : Bonjour Pilou Sassi, peux-tu nous présenter ton parcours et ton entreprise ?

Pilou Sassi : Bonjour, j’ai 29 ans et je suis originaire d’Annecy. J’ai étudié à l’IUT Technologique d’Annecy jusqu’en 2000. C’est à la même époque que j’ai rencontré mon associé, Matthieu (33 ans), à Avoriaz. Il était alors étudiant à l’École Polytechnique de Graphisme de Lausanne. Il est plus artiste que moi qui suis plus attiré par les aspects marketing et techniques du produit. Nous sommes complémentaires, c’est une des raisons du bon fonctionnement de notre boîte. Nous avons créé White Cristal en Janvier 2008 sous un statut de SARL.

SWiTCH : Raconte-nous l’histoire de White Crystal ?

P.S : Tout a commencé par un voyage pendant l’hiver 2005-2006. Nous avons parcouru 64000 kilomètres en moins d’un an, du Canada à l’Argentine. Dans un backpacker à San Martin de Los Andes, nous avons rencontré un gars qui nous a présenté deux frères avec qui nous nous sommes tout de suite liés d’amitié. Leur père, qui possède une usine de fabrication de meuble en bois, nous a laissé faire nos premiers prototypes de skis.

Après un an et demi de réflexion, on s’est décidé à lancer White Cristal. Au départ l’idée était de faire nos propres skis de freeride et de freestyle, pas nécessairement de créer une marque avec une gamme complète. Finalement, nous avons décidé d’en faire une mais sans mettre beaucoup d’argent. Nous ne voulions pas non plus nous endetter car on souhaitait limiter les risques.

Nous avons été capables de créer des pièces uniques, c’est ce qui nous différenciait de nos concurrents. D’autres entrepreneurs avaient déjà eu l’idée (KaOrigin et Uniq), mais les deux sociétés ont coulé notamment parce qu’elles n’avaient pas une bonne communication et que les prix étaient trop élevés. Cela dit, au début, nous n’avons pas fait d’étude de marché. Ce qui signifie que nous n’avions pas de cible précise, pas de politique de prix, pas de positionnement sur le marché. En réalité, nous n’avons pas recherché la rentabilité à tous prix. Au début, on a tout fait au « feeling » !

Notre chiffre d’affaire s’élevait à 100K€ la 1ère année, nous l’avons ensuite doublé chaque année. Nous produisons toujours nos skis en Argentine, c’est certes moins rentable que de les produire en Asie, mais nous préférons la qualité à la quantité.

SWiTCH : Quelles sont les valeurs fondamentales et les facteurs concurrentiels de White Cristal ?

P.S : L’écoute, l’accessibilité et la proximité avec les clients. Cela nous permet « d’être vrai » et d’admettre plus facilement nos points faibles (ex : des semelles sèches qui demandent plus de fart).

 Cette attitude nous donne aussi plus de crédibilité auprès de la clientèle. Parfois, certains clients deviennent de bonnes connaissances et nous allons skier avec eux. En fin de saison nous reprenons contact avec nos clients pour avoir des retours sur les produits achetés. On gère tout nous même : de la création au SAV, en passant par la vente, le secrétariat, les commandes de matières premières, la communication, etc… Nous produisons en moyenne 400 paires de skis par an, donc nous connaissons nos produits au millimètre près. Ils sont vérifiés point par point. On est aussi très flexible sur nos horaires. Nous livrons quasiment les clients en mains propres: nous aimons voir leurs regards quand ils découvrent leurs skis !

SWiTCH : Le fait d’avoir créé ton entreprise pendant la crise économique a-t-il était un problème ?

P.S : Non, non pas du tout. On l’aurait créé de toute façon !

SWiTCH : Quelle est ta plus grande satisfaction en tant que Chef d’entreprise ?

P.S : Ma plus grande satisfaction a été de voir les premiers skis sortir et de savoir que c’était quelque chose que j’avais créé de A à Z. J’en retire beaucoup de fierté.

SWiTCH : Quel est ton conseil pour les rookies qui voudraient se lancer dans la création d’entreprise ?

P.S : Comme je l’ai dit, nous n’avions pas fait d’étude de marché au début. On est allé trop vite dans la démarche. Donc ma recommandation serait la suivante : prenez votre temps ! Allez-y doucement mais surement !

SWiTCH : Comment vois-tu White Cristal dans 5 ans ? Dans 10 ans ?

P.S : Nous espérons diffuser nos produits dans 20 pays différents dans les 5 prochaines années. Nous souhaitons nous développer au Canada, aux U.S, etc… afin d’avoir une bonne couverture géographique.

SWiTCH : Quels sont les moyens de communication que vous utilisez pour faire connaître la marque et les produits ?

P.S : Nous utilisons principalement les réseaux sociaux comme Facebook car nous ne faisons ni commercial ni marketing ! Le bouche à oreille et notre proximité avec les clients font le reste !

SWiTCH : Quelle est la question qu’on ne t’a pas posé et que tu aurais aimé qu’on te pose ?

P.S : Ce n’était qu’un délire au départ nous n’étions pas issus de ce milieu, nous ne savions pas fabriquer un ski, nous avons tout fait à la « roots ». Nous n’avons pas créé notre entreprise dans l’arrogance mais plutôt pour nous faire plaisir. Nous avons beaucoup de projets secondaires dans plusieurs domaines (street wear, optique…) mais nous avons aussi beaucoup de frein pour ces projets (prix, concurrence accrue et pratiquement aucune distribution en France). Notre dernier projet est de proposer aux entreprises des skis professionnels : « Skis Entreprises ».

SWiTCH : Merci Pilou et bonne continuation à White Cristal !

[Propagande] La confiance en soi

Cet été, pour me rafraîchir les idées, j’ai relu quelques un de mes classiques : Bien heureux les fêlés, Toutes les entreprises ont été petites un jour, Quand on rêve le monde, Let my people go surfing, etc. Dans ce dernier livre, j’ai noté une réflexion d’Yvon Chouinard qui m’a inspiré ce billet.

« Pratiquer des sports à risque m’avait enseigné une leçon importante : ne jamais dépasser les limites. Vous poussez la machine et vous vivez pour ses moments où vous allez vous retrouvez sur le fil, mais vous ne faites jamais le grand saut. Il faut être honnête avec soi-même ; connaître ses forces et ses limites et ne pas chercher à vivre au-dessus de ses moyens. La chose est vraie dans le monde de l’entreprise. Dès qu’une entreprise essaie d’être ce qu’elle n’est pas, qu’elle essaie de « tout avoir », elle disparaît. »

On peut retirer beaucoup de leçons de ces sages paroles. Mais aujourd’hui, je me limiterai à la question de la confiance en soi, qui à mon sens est une des clés du succès. Mieux on se connaît, c’est-à-dire plus on a une vision précise – et sans se mentir ! – de ses capacités, de ses forces et ses faiblesses, plus il est possible d’avoir confiance en soi. Or, c’est précisément cette confiance qui permet à l’entrepreneur de savoir qu’il peut réussir ce qu’il entreprend. La confiance en soi est rarement innée. Elle s’acquiert avec le temps… et avec beaucoup d’entraînement.

Petit hasard de la vie, je suis tombée il y a quelques jours sur une vidéo de Roger Federer qui fait une démonstration saisissante de ces propos à l’occasion du tournage d’une publicité pour une célèbre marque de rasoirs. Il respire tellement la confiance que rien ne semble pouvoir lui faire manquer son but (par deux fois !) face à un technicien, qui lui semble pour le coup cruellement manquer d’assurance !


Cette démonstration n’est pas sans nous rappeler celle d’Andy Murray que nous avions publié il y a quelques mois… 😉

Crédit Photo Roger Federer : DR

[Propagande] Entreprendre ou l’effet « montagnes russes »

« La vie est pleine de hauts et de bas. Si vous êtes un entrepreneur, il y en a encore plus. Le chemin que les entrepreneurs prennent est si cahotique que beaucoup d’entre eux l’ont surnommé « les montagnes russes de l’entreprenariat ». Alors que vous vous démenez pour pour lancer et faire grandir votre entreprise, vous expérimentez ces pics d’adrénaline et ces coups du sort, encore et toujours. »
David Hauser

Histoire de nous donner un apeçu de ce que les entrepreneurs traversent, David Hauser a créé un dessin animé montrant à quoi ressemble la vie d’un entrepreneur et comment ce processus est cyclique.

Prêt pour un tour de manège ?

Azimut : Cap vers l’innovation responsable

Avant de partir en week-end – et oui, ça nous arrive aussi de temps en temps ! 😉 – nous voulions souhaiter bon vent à nos copains d’Azimut : Benjamin Marias et David Vulliez.

Passionnés de sport et de grand air, David et Benjamin ont décidé de transformer leur terrain de jeu en outil de travail et d’expérimentation. Depuis 15 jours, ils ont créé leur agence conseil en innovation responsable pour les entreprises et collectivités dans les secteurs des sports & loisirs. Leur champ d’intervention porte sur les métiers de la stratégie, de l’éco-conception, de l’ergonomie de produit et de la R&D en proposant des solutions concrètes sur le plan environnemental et économique. Avec un aplomb sans faille et une maîtrise totale de leur secteur, c’est sûr, ce duo de choc va faire des étincelles !

Fiche technique AZIMUT :

Caractère innovant :
– Interaction et transversalité des compétences
– Intégration de l’environnement dans les approches de gestion de l’innovation
– Evaluation rapide du contexte et esquisse de solutions

Fonctionnalité
:
– Adaptation de l’offre aux besoins des clients par des «services à la carte »
– Management participatif entre les parties prenantes du projet

Qualité de service :
– Adoption d’une ligne de conduite assurant transparence et confidentialité
– Objectivité décisionnelle, rigueur méthodologique et indépendance idéologique

Azimut est lauréat du programme Annecy Initiative et du concours Envie d’Agir.