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A quoi ressemble la station de montagne du futur ?

Station du futur

Le Conseil départemental de l’Isère, porté par sa nouvelle marque territoriale « Alpes IsHere », s’est lancé dans une étude prospective captivante : imaginer la station de montagne du futur ! Pour les accompagner dans cette démarche, ils ont fait appel à nos confrères Olivier Boursier (Alp’Evasion), Jean-Christophe Hoff (Visconti) et Laurent Oleon (Altisens). Ces derniers ont suivi une méthodologie de design thinking la plus inclusive et participative possible, sollicitant élus, institutionnels, représentants syndicaux, socio-professionnels, chefs d’entreprises de l’outdoor et du tourisme, chercheurs, consultants,… le panel n’aurait pas pu être plus exhaustif ! SWiTCH, représenté par Armelle Solelhac, a eu le plaisir de participer à ces rencontres et d’apporter sa pierre à l’édifice.

Pour être certains d’apporter la meilleure réponse possible à la grande question du ou des modèle(s) de stations de demain, tous les points clés ont été passés au crible que ce soit du point du vue des visiteurs touristiques, des habitants & des résidents secondaires, des professionnels, en prenant en compte le développement économique et les business models, les enjeux climatiques et environnementaux, les enjeux sociaux et sociétaux, les enjeux des pratiques sportives/loisirs/santé/etc., les enjeux de la mobilité, les contraintes d’aménagements (urbanisme, risques naturels, etc.), et bien d’autres encore !

Les résultats seront présentés grâce à un démonstrateur vidéo à l’occasion du Mountain Planet 2018, à Grenoble du 18 au 20 avril 2018. D’ici là, voici une première vidéo de présentation de la démarche.

[Media] SWiTCH est dans Les Inrockuptibles n°1154 !

Les Inrocks n°1154 - couverture

Le numéro 1154 du célèbre magazine Les Inrockuptibles présente un article sur le futur du tourisme et le tourisme connecté. SWiTCH a le plaisir d’y avoir été cité en tant qu’expert aux côtés de Guillaume Cromer et Vanguelis Panayotis ! Même si l’angle choisi par la journaliste Clémentine Gallot  est très alarmiste, voire un peu catastrophique – ce qui est loin d’être notre posture – il a le mérite de présenter quelques tendances lourdes pour le futur de cette industrie. A lire !

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Retour sur le Digital x Outdoor 2017

DXO-MONTAGNE-MOYEN Fond Bleu Organisée par ImaginoveCITIA et Outdoor Sports Valley, la 2nde édition du Digital x Outdoor (DxO) a eu lieu le 10 novembre dernier à Archamps. Cet événement propose de décrypter l’innovation numérique et d’accompagner les entreprises de l’industrie de l’outdoor vers une meilleure connaissance des solutions « digitales » disponibles. La thématique centrale de cette édition était consacrée à l’intégration du consommateur au cœur des dispositifs. Armelle Solelhac, PDG de SWiTCH, a eu le plaisir d’y faire une conférence plénière « en bon français » sur les tendances du marketing numérique d’ici à 2020. Résumé.

Convialité, humour et contenus « No Bullshit »
Contrairement à de nombreux événements consacrés au numérique, la particularité du DxO réside très certainement dans son absence absolue de snobisme. Ici, pas de terminologie alambiquée, pas de concept abstrait, pas de posture pédante de supériorité des « sachants » au regard des « apprenants » : les participants étaient là pour repartir avec les idées claires et du concret à mettre en oeuvre dès leur retour au bureau. De fait, les présentations des intervenants, qu’elles fut sous forme de conférence, de témoignage ou d’atelier, étaient sans langue de bois, engagées et chargées de bonnes pratiques à adopter et/ou d’erreurs à éviter. Il en a découlé une ambiance décontractée mais non moins sérieuse bien agréable !

Après les traditionnels discours d’ouverture, nous avons donc présenté « en bon français » notre revue des tendances en « marketing numérique » d’ici à 2020. Comme nous n’avions qu’une vingtaine de minutes, nous avons du faire des coupes et ne retenir que 5 d’entre elles. Mais vous pouvez désormais retrouver le support détaillé et complet ci-dessous :

Bertrand Barré (PDG de ZEBRA) a ensuite expliqué avec beaucoup d’humour, voire un brin de provoc’, comment la génération des « millenials » change le dialogue entre les marques et les consommateurs. Ayant une tendance à rejeter les marques et leurs discours bien rodés, avides d’authenticité et très auto-centrés, les « millenials » imposent de nouvelles règles aux marques. Ces dernières doivent non seulement apporter plus d’émotions et plus de valeur ajoutée dans leur storytelling, mais leurs discours doivent être en cohérence avec leurs actes et leurs engagements sociétaux au quotidien.

DxO 2017

Jean Naveau (Directeur International produit & digital de SEB) a poursuivi la matinée en apportant un retour d’expérience sans faux-semblant sur l’association des services numériques et des produits pour renforcer l’expérience consommateur chez SEB. Dans la foulée, Axel Dutreil (Directeur Global Digital Marketing & E-commerce) a lui aussi apporté un témoignage sans détour sur la façon dont le numérique s’est imposé à Salomon et est devenu une des clés de succès de l’entreprise. Ces deux exemples ont vastement démontré comment les entreprises qui saisissent ces changements à temps – plutôt que de les subir… – peuvent les transformer en opportunités pour accélérer leur croissance.

Pitching, salon & déjeuner bio et ateliers pratiques
La séquence attendue et particulièrement appréciée de l’événement a permis de finir la matinée en beauté : les startup pitch ! Clément Lhommeau d’Helloways et Tim MacLean de Whympr ont donc pu défendre leur projet devant le public. On aurait aimé en avoir d’autres, d’autant plus que ce n’est pas les beaux projets qui manquent au sein de l’industrie de l’outdoor…

VR Dx0 2017

Après un déjeuner sain et original au coeur d’un salon d’exposition où les participants ont pu faire le plein d’expériences et de solutions numériques, les ateliers de l’après-midi se sont déroulés sur quatre thématiques :

  1. La gestion des athlètes pour mieux toucher ses consommateurs ;
  2. Comment faciliter l’appropriation interne des messages de la marque ;
  3. Le crowdfunding, outil de financement ou de recherche marketing ?
  4. Comment créer le dialogue avec son client ?

En bref, DxO 2017 a proposé une seconde édition de grande qualité avec des solutions concrètes et des perspectives pour l’avenir, afin de permettre aux marques de l’outdoor de négocier au mieux leur virage numérique. Vivement le DxO 2018 !

SWiTCH fera une conférence le 10 Novembre 2017 pendant le Digital x Outdoor !

DXO-MONTAGNE-MOYEN Fond BleuOrganisée par Outdoor Sports ValleyImaginove et CITIA, la 2nde édition du Digital x Outdoor aura lieu le 10 novembre 2017 à Archamps. Après le succès de l’année dernière, cet événement qui a pour objectif de décrypter l’innovation digitale et d’accompagner les entreprises de l’industrie outdoor vers une meilleure connaissance des solutions numériques disponibles se concentrera sur l’intégration du consommateur au cœur de l’entreprise. Armelle Solelhac, PDG de SWiTCH, aura le plaisir d’y faire une conférence sur les tendances marketing numérique d’ici à 2020.

Des intervenants de haute qualité tels que Bertrand Barré (PDG de ZEBRA), Jean Naveau (Directeur International produit & digital de SEB), Yann Tessier (CEO de Itycom) ou encore Clément Meynier (Fondateur de Koppo) présenteront leurs visions et leurs retours d’expériences dans le cadre de conférences plénières, d’ateliers pratiques, de tables rondes, afin d’amener des réponses concrètes sur le sujet. Une exposition-salon en parallèle des présentations permettra aux participants de découvrir les services et produits digitaux liés au monde du sport outdoor.

Infos pratiques :
Date : vendredi 10 novembre
Horaires : 9h00 à 17h00
Lieu : Centre de Convention d’Archamps, Domaine de Chosal, 92, rue Ada Byron – Archamps Technopole
Inscription : ici !

Retour sur la Digital Week 2017 et notre conférence sur les tendances du tourisme du futur

Armelle Solelhac Digital Week

Le 20 septembre dernier, nous avons eu le plaisir d’être invité par la CCI Nantes St NazaireBretagne Plein Sud et Cap Atlantique à participer à la Digital Week. Nous y avons présenter ce qui nous semble être les 3 tendances majeures dans le secteur du tourisme pour les 10 à 20 prochaines années et comment, concrètement, le marketing digital peut aider les professionnels du tourisme à répondre aux challenges à relever avec efficacité d’ici à 2020. Nous avons aussi détaillé comment créer une expérience touristique « WOW! » et rendre la relation plus humaine.

Vous retrouverez ici notre support de présentation, complétée de quelques slides que nous n’avons pas eu le temps de détailler dans le temps imparti.

Retour sur les 2ème rencontres mondiales sur le futur du tourisme lors des Entretiens de Vixouze des 7 et 8 septembre 2017

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La 2ème édition des Entretiens de Vixouze, qui a eu lieu les 7 et 8 septembre 2017 dans le Cantal, a tenu toutes ses promesses. Un cadre enchanteur, des intervenants de très haut niveau et des sujets pointus de prospective sur le futur du tourisme d’ici à 2050, tels ont été les ingrédients pour un événement décidément hors des sentiers battus. Ce n’est pas moins de 18 conférences et tables rondes auxquelles nous avons eu la chance d’assister et de participer pour l’une d’entre elle. Retour sur cet événement riche en matière à réflexion.

Voici « pêle-mêle » ce qu’il fallait retenir des débats :

    • Les Entretiens de Vixouze visent à adopter une approche prospectiviste. Or, la prospective exige un lourd travail de créativité et d’imagination de différents scenarii. Il faut donc être capable de faire un pas de côté pour oublier notre quotidien pour pouvoir se projeter.
    • L’imaginaire n’est pas le contraire du réel, il en fait partie. Cependant, l’imaginaire modifie nos perceptions.
    • La notion de tourisme est apparue en 1792… en même temps que la notion de modernité. Cette dernière repose sur un mythe de référence qui est le progrès. Dans le monde du progrès, le présent est supérieur au passé et le présent est inférieur au futur. Cela engendre un désenchantement et de la frustration, ce que Baudelaire appelle le « spleen ».
    • Tout est éphémère et fugitif, alors qu’on tend vers le durable, le transhumanisme et l’éternel. Pour poser des limites au transhumanisme, il faut développer « l’hyperhumanisme ». La modernité est la traversée dans la conscience d’un nouveau rapport à l’espace et au temps.
    • Les deux guerres mondiales ont réduit à néant l’idée que le progrès technique est un mythe de référence, faisant émerger ainsi la post-modernité. Celle-ci passe par le progrès moral et l’intelligence émotionnelle.
    • La massification n’est pas la disparition des différenciations, mais un simple déplacement de celles-ci.
    • Nous sommes désormais entrés dans un monde de la scénarisation (ex : scénarisation de l’Histoire avec le Puy-du-Fou ou encore le « Schindler Tour » pour visiter les lieux historiques de la Seconde guerre mondiale).
    • L’homme post-moderne a du passé dans son présent et dans son futur, mais il a aussi du futur dans son présent. Cela modifie les perceptions et les comportements. Toutes les pratiques culturelles, gastronomiques, corporelles, vestimentaires, etc. sont désormais bousculées.
    • On peut retirer de ce rapport à la post-modernité de nouvelles croyances, dont on pensait pour certaines qu’elles avaient pourtant disparues depuis le Moyen-Âge (ex : théorie du complot, force des « fakes« , etc.) et de nouveaux modèles, de nouvelles pratiques, etc.
  • Un nouveau paradigme est donc en train de s’installer, où le passé représente la nostalgie, le présent n’est possible que dans la scénarisation de l’expérience et le futur ne peut s’envisager que dans la capacité à anticiper. Il y a du reste fort à parier qu’il y a de moins en moins de frontière entre ces trois temps !

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  • Un fait incontestable : un jour, il n’y aura plus de carburant fossile pour faire démarrer un avion tel qu’on le fait aujourd’hui. En 2030, l’avion prendra-t’il le train en marche ? Pour se déplacer sur de longues distances, nous aurons le choix entre le Transpod Hyperloop et l’avion à hydrogène Clip-Air.

Clip-Air

    • Pour les plus courtes distances (autour de 0 à 100 km), les drônes individuels et au pilotage totalement automatique seront disponibles, tels que ceux sur lesquels travaille le chinois Ehang.
    • Les moyens de transport en 2030 offriront un temps de vie riche dans lequel la notion de plaisir deviendra un critère absolu. On ne jugera plus le temps de parcours, mais l’expérience du temps parcouru.
    • Tous ces moyens de transport ne sont pas concurrents, mais complémentaires. Cependant, à ce stade, on ne sait toujours pas comment supprimer les ruptures de charge (ce qu’on appelle les « frictions » chez SWiTCH, ndlr) entre les moyens de transport longue distance et ceux qui permettent d’accomplir les derniers kilomètres entre son domicile ou son bureau et les gares et les aéroports.
  • D’ailleurs, la clé du succès de tels projets est que pour qu’ils puissent simplement exister et se développer, il est indispensable qu’ils puissent s’insérer au sein des infrastructures déjà présentes (ex : aéroports, gares, etc.). La modularité de ces moyens de transport est donc essentielle.

Ehang - drone

    • Il est intéressant de constater qu’il y a encore 100 ans, la clé de la liberté était une clé de voiture. Aujourd’hui, c’est un téléphone mobile qui nous permet d’être mis en relation avec les solutions de mobilité (ex : velib’, co-voiturage comme Blablacar, VTC de type Uber ou LeCab, etc.).
    • Nous passons d’une société de propriété à une société d’usage/utilisation.
    • Qu’est-ce que la « Cobotique » : c’est la collaboration avec les robots ! Cette forme de collaboration va se développer très fortement dans nos gestes quotidiens et dans nos habitudes de travail. Cependant, les robots ne vont pas complètement remplacer les hommes… bien au contraire ! Ils vont simplement les soulager des tâches ingrates pour ne leur laisser plus que les tâches à forte valeur ajoutée. Une fois de plus, tout est question de nuance et de dosage. Il va falloir se poser les limites.
    • La mise en marché des destinations passe davantage par un « tourisme de marques » qu’un « tourisme d’Etat ». Partout dans le monde les marques de territoires et les marques d’usages prennent le dessus. Dans ce contexte, chaque Etat, mais aussi chaque destination à son échelle, doit redéfinir le cadre de ses missions en matière de promotion et de mise en marché.
    • Et si le thermalisme romain redevenait le thermalisme de demain ? La raréfaction de l’eau, l’équilibre difficile des budgets de santé publique et la promotion des dispositifs de bien-être et de jouvence sont-ils arrivés au bout d’une logique ?
    • Il ne faut pas confondre « tourisme médical », « tourisme de santé » et « tourisme de bien-être ».
    • Le traitement des addictions par les cures thermales semble être l’un des segments qui connaîtra la plus forte progression dans les 10 à 15 prochaines années. D’une manière générale, le tourisme médical – même s’il est peu développé en France – est un segment qui devrait se développer fortement à l’avenir.
    • Ce phénomène est peu surprenant compte tenu du vieillissement de la population et du développement des maladies chroniques et des maladies de longue durée.
    • La motivation des tourismes de santé et de bien-être est d’entretenir son capital santé. (Life span ≠ Health span).
    • Les données sont le nouvel or noir. Les acteurs traditionnels du tourisme en regorgent, mais les nouveaux entrants, les « pure players de la data » comme Uber, Airbnb, Booking ou encore Blablacar, excellent dans leur extraction, leur analyse, leur utilisation et leur valorisation. Ce qui n’est pas au détriment des acteurs historiques.
    • Le Big Data implémenté des objets connectés (aussi appelés « IoT » pour « Internet of Things ») s’appelle maintenant le « Massive Data« .
  • Il y a 3 ingrédients et 3 recettes essentiels pour collecter, analyser et valoriser les données des consommateurs avec succès :
  1. Le travail sur la qualité des données : enjeux majeurs !
  2. Le travail sur les outils de CRM : il faut qu’ils soient performants !
  3. Le travail en A/B testing : il faut accepter de tatonner et de faire des erreurs avant de réussir !
  4. La concentration : il faut accepter de croiser les données « 1st party« , « 2nd party » et « 3rd party » et de les analyser toutes ensemble.
  5. La collaboration : il faut que les différents professionnels du tourisme issus de différents métiers échangent leurs données pour qu’ils puissent progresser collectivement, sans pour autant risquer de se faire concurrence.
  6. La coconstruction avec la clientèle pour créer les offres produits qui leur conviennent le mieux.
  • Le massive data permet de passer de l’économie de l’attention à l’économie de l’intention : prévoir les intentions des consommateurs pour mieux les anticiper, les devancer et donc mieux y répondre.

Et enfin, pour terminer, voici le résumé de l’intervention d’Armelle Solelhac, PDG de SWiTCH, sur les trois tendances majeures qui se dégagent pour le tourisme en 2035 :
1. Le passage d’un tourisme de masse à un tourisme d’espace. Cela engendre un paradoxe :
– Un tourisme de niche, réservé à une élite financière, qui pourra profiter d’espaces naturels sans surpopulation ;
– Un tourisme virtuel, fait d’images en réalité virtuelle, d’odeurs et de sensations artificielles.

2. Un monde sans friction où l’expérience de voyage et de visite touristique est la plus fluide possible, sans rupture de charge. C’est l’un des plus gros enjeu et défi de ces 30 prochaines années. Cela exige, entre autres, un travail fin et colossal sur l’urbanisation et la gestion des flux, une approche « cashless » des lieux touristiques tout comme des resorts, grâce aux paiements mobiles ou aux bracelets de type Payintech, et bien d’autres modifications de taille de nos organisations.

3. « L’Hypertourisme », qui là encore fait apparaître des approches paradoxales mais pour autant tout à fait compatibles pour autant qu’elles ne soient pas situées en un même lieu. On peut citer parmi celles-ci : l’hyperconnexion et l’hyperdéconnexion (avec les digital detox), l’hyper personnalisation de l’expérience, l’hyper qualité, l’hyper service, l’hyper naturel et l’hyper aseptisé/contrôlé, l’hyper virtuel et l’hyper humain, l’hyper activité et l’hyper inactivité (avec les cures de silence notamment), l’hyper éthique, etc.

Remerciements :
Encore merci à Julie, toute l’équipe organisatrice de l’événement, et surtout à Serge Pilicer pour son invitation. Ce fut un réel plaisir de participer à ces rencontres hors du temps pour mieux anticiper les temps qui arrivent… à toute vitesse !

SWiTCH participera aux Entretiens de Vixouze les 7 et 8 septembre 2017 !

entretiens de vixouze

Un château médiéval de plus de 1000 ans pour parler du futur du tourisme dans les 50 prochaines années, en voilà un paradoxe amusant ! Organisé par Serge Pilicer et son équipe, la seconde édition des Entretiens de Vixouze aura lieu les 7 et 8 septembre 2017. Ce « Forum International du Tourisme du Futur » a pour objectif  « d’installer en France la plus importante rencontre mondiale de réflexion, d’échanges et d’orientation sur les futurs de nos tourismes ». Armelle Solelhac, PDG de SWiTCH, a l’immense honneur d’être conviée à participer à l’une des tables rondes de cet événement dédiée au futur du tourisme en montagne et balnéaire.

Des intervenants experts de grande renommée et un programme de haut niveau
Après le succès du premier événement, 25% de visiteurs étrangers de 15 pays sont attendus pour écouter des intervenants de renoms tels que Michael Lopez Alegria (NASA, ex-commandant en Chef de la station spatiale internationale), Hélène Abraham (Directrice Générale Air France / Hop), Alexandre Droulers (General Manager, New Mobility Projects, Uber France), Christian Mantei (Directeur Général d’ Atout France), Franck Gervais (Directeur général VSNCF/SNCF.com), Jean-Pierre Pinheiro (Directeur de l’Office du tourisme Portugal et Président de l’ADONET), Dominique Hummel (Président du directoire du Futuroscope), Peter Debrine (Senior project officer, Sustainable Tourism Program, UNESCO), Rebecca Meyer-Szlamowicz (Directrice des relations institutionnelles, VVF), Gabrielle Gauthey (Directrice  des investissements et du développement local, CDC), Samuel Morin (Chercheur, Météo-France – Directeur du centre d’études de la neige, CNRS), Philippe Vallette (Océanographe, Directeur Général de NAUSICAA), Laurent Queige (Directeur du Welcom City Lab), Georges Rudas (Président d’Amadeus France), Johann Spartel (Senior Director Marketing Management, Expedia), Emmanuel Marill (Directeur général Airbnb France), etc. Le programme de ces deux jours s’annonce riche, intense et de très haut niveau. Mobilité, gastronomie, marketing, mise en marché, interactions Homme-Machine, comportement des consommateurs, environnement, réchauffement climatique, tourisme spatial sont autant de thématiques qui seront débattues.

De la prospective et des débats hors du commun
Organisée en partenariat avec Atout France, la région Auvergne-Rhône Alpes, le Conseil Départemental du Cantal et placée sous le haut parrainage du Ministère des affaires étrangères et du développement international, cette manifestation s’adresse principalement aux décideurs du Tourisme, aux universitaires, aux sociologues, aux anthropologues, aux philosophes prêts à s’ouvrir à des débats prospectifs qui sortent des lieux communs. Il suffit d’ailleurs de s’attarder sur la présentation des visions proposées par quelques uns des intervenants experts pour avoir un petit aperçu des scenarii possibles pour 2050.

Envie de nous rejoindre pour imaginer le futur du tourisme ? Inscrivez-vous ici !

[La bonne nouvelle du mercredi] SWiTCH participe à « Mont-Blanc Version Durable » du 31 mai au 02 juin 2012

Cette deuxième édition de « Mont Blanc Versant Durable » est une rencontre sur le tourisme de demain autour d’une réflexion sur le marketing territorial et les nouveaux produits. Elle se décline cette année autour du thème : « Il sera une fois… », Comment les lieux touristiques se racontent et s’inventent ?

Chaque territoire ou site porte en lui son histoire, c’est ce qui façonne sa personnalité, le différencie des autres, lui permet d’évoluer au fil des décennies, en fait une destination touristique unique. Aujourd’hui encore plus qu’hier le développement durable est un des facteurs déterminants de la définition d’une identité et de la construction d’une histoire contemporaine. Un choix stratégique et impliquant qui s’offre aux collectivités et qui nécessite un consensus général : c’est tout l’enjeu d’un positionnement futur qui transmettra et poursuivra leur propre histoire.

Nous interviendrons lors de la session du vendredi 1er Juin de 16h45 – 18h15 ayant pour thème « Le touriste, nouveau partenaire de la construction du récit des lieux touristiques : vers une communication participative« .

Pour consulter le programme complet de l’événement, c’est ici, et pour voir la présentation des intervenants c’est . Enfin, si vous ne pouvez pas venir du tout, voici en avant-première notre présentation :


 

Le futur appartient aux curieux !

« Knowledge is Power » – Savoir c’est pouvoir – et « To learn is to live » – Apprendre c’est vivre – comme disent les américains.

Skillshare est une plateforme communautaire pour apprendre les uns des autres. Ce projet vise à rendre les échanges de savoirs plus faciles, plus enrichissants et plus amusants. Nous vous laissons découvrir dans la très sympathique vidéo ci-dessous en quoi cela consiste.

Et vous, auriez-vous envie d’apprendre ou d’enseigner vos connaissances aux autres pour faire progresser la marche du monde ?