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[La bonne nouvelle du mercredi] SWiTCH fera une conférence lors des Sommets du Digital 2016 !

Les Sommets du Digital 2016

Les Sommets du Digital organisé par les Editions Kawa auront lieu les 1er, 2 et 3 février 2016 à La Clusaz. Cet événement qui regroupe tous les plus grands experts du digital, du marketing, du e-commerce et de l’innovation n’est pas comme les autres : un format de conférence à la TED, donc court et efficace, du networking et surtout du… SKI ! SWiTCH n’est pas peu fier d’y être speaker. Nous y présenterons les signaux faibles et les tendances 2016 sur le e-tourisme.

Au programme de ces trois journées : Big Data, innovation, stratégie de marque, transformation digitale, réseaux sociaux, Internet Marketing, Mobile Marketing, Géolocalisation, référencement, retail et e-retail, CRM, prospective, créativité, écriture web, picture Marketing, Marketplaces, e-tourisme, objets connectés et toutes les dernières tendances seront présentés lors des conférences thématiques. C’est donc l’occasion unique d’écouter, apprendre, échanger et profiter de moments privilégiés et exceptionnels avec les 30 speakers experts. La tête d’affiche est notamment partagée par Gilles Babinet, Gregory Pouy, Olivier Mathiot, Jean-Michel Billaut, David Abiker, Camille Jourdain, Philippe Cahen, Cyril Attias et Armelle Solelhac. Ils partageront leurs visions du monde de demain et leurs expériences pour donner les clés pour progresser, apprendre et consolider son business.
Envie d’écouter, apprendre, échanger, et profiter de moments privilégiés et exceptionnels ? Venez nombreux, nous vous y attendons… avec nos idées affûtées et nos spatules bien fartées ! 😉

Vine : 6 secondes de vidéo en une application !

Rachetée par Twitter et lancée début février 2013, l’application Vine connaît un franc succès depuis sa mise en ligne récente sur l’Apple Store. L’idée ? Capturer de courtes vidéos de 6 secondes et les partager instantanément via Twitter et Facebook, avec les traditionnels #hashtags et la géolocalisation !

Un système de capture séquencé permet à l’internaute de tourner plusieurs plans de façon simple et sans montage a posteriori. Les animations courtes résultant de ces « one-shots » s’apparentent fortement aux images .gif traditionnelles, le son en sus. Mais l’intérêt de l’application réside en la créativité et l’aspect synthétique demandés à l’internaute pour faire passer un message visuel précis en un laps de temps aussi réduit. Aussi, on peut aisément faire le parallèle des 6 secondes avec les 140 caractères demandés par Twitter pour ses propres posts, caractéristique qui a sans aucun doute séduit le réseau social américain.

Alors que nombreux internautes ont été tentés par le concept, certaines marques surfent déjà sur ce qui pourrait devenir un phénomène. L’intérêt est non négligeable : quoi de plus efficace et original que de communiquer en 6 secondes sur une destination touristique, un produit, l’histoire de la marque ou tout simplement un univers ? Mini web série ou plans en stop-motion peuvent ainsi devenir de vrais outils d’enrichissement du brand content produit par les marques.

Nous avons tenté l’expérience Vine hier après-midi au WhiteLab (qui n’a jamais si bien porté son nom ! :-)) alors qu’il tombait de gros flocons et avons publié sur Twitter notre premier « Vine post » dont vous pouvez redécouvrir les images ci-dessus.

Et vous, comment allez-vous utiliser Vine ?

Boutiques 2.0 ou la rencontre du retail on/off-line !

Mutation. Voici le mot clé qui caractérise le mieux le changement de comportement d’achat des consommateurs depuis l’apparition des dernières technologies. S’adapter à la progression rapide du e-commerce (+20% en 2012 du CA total en France par rapport à 2011 – Source : FEVAD) est un enjeu majeur pour les marques face au phénomène de « showrooming » naissant. L’utilisation des smartphones et de l’Internet sur tablette permet maintenant au consommateur une comparaison rapide des offres et une possibilité d’achat en ligne grâce à de multiples applications telles que le scan de code barre, transformant les points de vente physiques en zones d’exposition. Il devient donc clé pour les marques de s’adapter efficacement à cette nouvelle tendance et de mettre le digital au service de la vente en magasin.

Géolocalisation au sein même du magasin, fiches-produits accessibles via mobile ou encore réalité augmentée font partie des nombreux outils à disposition des marques pour faire vivre une expérience marquante au consommateur et valoriser les points de vente traditionnels.

Dans ce cadre, certaines marques de sport telles qu’Adidas ont mis en place un véritable retailing 2.0. Face à l’augmentation des ventes sur Internet, la marque aux trois bandes a parallèlement su valoriser de manière efficace une boutique dédiée à sa gamme NEO grâce aux technologies digitales.


L’opération consiste en une vitrine numérique avec laquelle le consommateur peut interagir via son smartphone. Particularité : aucun téléchargement d’application n’est nécessaire ! Pour se connecter à la vitrine, le « shopper » doit donc se connecter à une adresse URL (ou scanner un QR code) puis rentrer le code pin indiqué. Une fois connecté, l’utilisateur peut manipuler le mannequin virtuel, lui faire essayer les vêtements de son choix et surtout placer ces derniers dans un panier virtuel directement lié au mobile. Il aura par la suite la possibilité d’acheter via m-commerce et partager son expérience sur les réseaux sociaux. Novateur n’est-ce pas ?

Hasan Elahi : « FBI, here I am ! « 

Lorsque le nom de l’artiste interdisciplinaire Hasan Elahi a été ajouté (par erreur) à la liste de surveillance du gouvernement américain, il a combattu cette violation de sa vie privée de façon bien curieuse : en la révélant dans les moindre détails à la face du monde, créant ainsi un véritable écran de fumée, digne d’une oeuvre d’art.

Lorsque les Feédéraux vous courent après, il y a plusieurs options: paniquer, résister ou, les inonder de renseignements. Tout a commencé en 2002, quand Elahi a été arrêté à Detroit après un vol des Pays-Bas, soupçonné d’avoir caché des explosifs dans un casier en Floride. Bien que les tests au détecteur de mensonge par la suite l’aient blanchi, Elahi – Professeur agrégé à l’Université du Maryland et artiste exposé à la Biennale de Venise, et au Centre Pompidou à Paris – a été soumis à six mois d’enquête et d’interrogatoire sur ses nombreux voyages internationaux. Le problème, c’est qu’une fois que vous êtes pris dans le « Système », il est quasiment impossible d’en sortir. Il a alors décidé de coopérer en retournant ce système contre leurs créateurs et utilisateurs.

Ainsi, il a commencé à publier sur TrackingTransience.net des photos de sa vie, minute par minute (jusqu’à une centaine par jour !) : chambres d’hôtel, gares, aéroports, repas, lits, recettes de cuisine, et même les toilettes. Pour enfoncer le clou, il a également couplé ces publications avec un système de géolocalisation. Il est ainsi possible de suis ses traces en direct de son site web via une carte Google Map. Ce qui a commencé comme une vengeance s’est finalement transformé en une véritable oeuvre d’art. Il a aussi publié un livre au sujet de cette expérience « You Want to Track Me? Here You Go, F.B.I. ».

Nous partageons avec vous sa conférence TED donnée en Juillet 2011 à Edimburgh (Durée : 14’31 – Sous-titré en Français) dans laquelle il raconte son épique histoire.

 

Résumé de la Convention annuelle de la National Ski Area Association du 06 au 09 mai 2012 à San Antonio, Texas (2ème partie)

Du 06 au 09 mai 2012 a lieu la Convention de la National Ski Area Association à San Antonio, au Texas (USA). Ce rendez-vous  annuel, est l’occasion de mélanger business, conférences et rencontres avec les dirigeants des stations de montagne américaines et des équipementiers du monde entier. Nous avons la chance d’y être invité pour y faire une conférence sur l’intérêt de la géolocalisation sociale dans le secteur du tourisme. Résumé de la deuxième journée de conférences.

Tout d’abord, nous tenons à vous présenter toutes nos excuses pour le gros retard de publication de cet article, mais les rendez-vous, les conférences, les missions et les choses de la vie se sont enchaînées à un rythme effréné depuis le mois dernier, nous empêchant ainsi de prendre le temps de nous replonger dans nos notes pour publier ce résumé. Mais mieux tard que jamais…

Cette deuxième journée nous a permis de prendre connaissance du bilan de la saison 2011-2012 pour les stations Nord-Américaine. Et comme nous l’a confié Michael Berry (Président de la NSAA) en personne, « c’est la pire saison de ces trente dernières années« . Voici un résumé en quelques points :

Fréquentation
En raison du faible enneigement et des températures très douces, les skieurs ne se sont pas bousculés sur les pistes, faisant chuter la fréquentation à 51 millions de skieurs cette saison. Avec une baisse de pus de 15% par rapport à l’hiver dernier, cette saison est de loin la plus catastrophique depuis vingt ans.

Toutes les régions, sans exception, ont du faire face à cette baisse de fréquentation, le déclin étant particulièrement significatif au Sud-Ouest (-26,3%) et Sud-Est(-24%) du pays, ainsi que dans les Rocheuses.

Enneigement
Après avoir connu la saison dernière des enneigements records, les États-Unis ont du affronter cette saison les pires depuis vingt ans.

Ouverture des domaines
En moyenne, les jours d’ouverture des domaines ont décliné de 7,5% sur l’ensemble du territoire américain. Beaucoup de stations ont du ouvrir tardivement et fermer leurs portes plus tôt en raison des conditions climatiques. En somme, près de la moitié d’entre elles (48%) ont du fermer prématurément. Malgré tout, peu de fermetures forçées en milieu de saison sont à constater.

Snowboarders
Les grands absents de la saison sont les snowboarders. Avec une baisse de 30% des visites, c’est une chute de la fréquentation constante depuis deux saisons qu’il faut noter. Sur le territoire américain, la région du Sud-Ouest est la plus touchée.

Fréquentation à la journée
Alors que tous les chiffres sont en chute libre, la fréquentation à la journée continue sa progression depuis trois ans. Sur cette dernière saison, elle représente près de la moitié des visites, un record.
D’ailleurs cette hausse est constatée par toutes les stations –petites et grandes– sur l’ensemble du territoire.

Forfaits « saison »
Concernant les forfaits saison, la vente est restée constante. Les vistes quant à elles représentent 38,1% du total des visites sur la saison, soit une très légère augmentation depuis l’hiver dernier.
En définitive, cette saison catastrophique, qui reste historiquement rarissime, a rapellé aux stations américaines qu’il fallait rester vigilent et surtout pro-actif. L’évolution des profils des touristes, de leurs attentes et de leurs préférences représentent autant de challenges à surmonter, à plus ou moins long terme.
Comme on est en Amérique du Nord et que ce n’est décidément pas dans leurs habitudes de se lamenter sur leur sort, la traditionnelle question « so what’s next ? » a clôturé cette journée riche en échanges et a donné le ton pour le lendemain.

Pour redécouvrir le résumé de la première journée, c’est . Dans les prochains jours, nous publierons le résumé de la dernière journée de cet événement « Texas size ! » comme on dit ici.

Résumé de la Convention annuelle de la National Ski Area Association du 06 au 09 mai 2012 à San Antonio, Texas (1ère partie)

Du 06 au 09 mai 2012 a lieu la Convention de la National Ski Area Association à San Antonio, au Texas (USA). Ce rendez-vous  annuel, est l’occasion de mélanger business, conférences et rencontres avec les dirigeants des stations de montagne américaines et des équipementiers du monde entier. Nous avons la chance d’y être invité pour y faire une conférence sur l’intérêt de la géolocalisation sociale dans le secteur du tourisme. Résumé des deux premières journées à l’image de ce continent… hors norme !


Journée 0 : Cadillac, Stetsons et un Mall aussi grand qu’une station de ski
L’accueil à l’aéroport par un chauffeur en Cadillac « Escalade » a donné immédiatement le ton de cet événement : du très haut niveau ! Comme nous avons eu la chance d’arriver une journée à l’avance, nous en avons profité pour visiter un peu. San Antonio est une ville colorée typique des Etats du Sud des USA : des avenues parfaitement droites quadrillent l’espace, un mélange de styles architecturaux parfois incongru (colonial, pueblo et des buildings modernes), des restaurants tous les 50 mètres (les américains mangent jour et nuit…) et d’immenses Malls – la surface commerciale de Rivermall, la principale gallerie commerçante de S.A, doit être aussi vaste que le village de Val Thorens ! La ballade sur le Riverwalk, au bord de la rivière qui traverse la ville, est non seulement très agréable (à condition de la faire à la fraîche le matin… quand il ne fait que 32°C !), mais regorge aussi de bonnes idées pour toute personne qui travaille sur la scénarisation d’espaces naturels et/ou urbanisés, ainsi que sur les problématiques de signalétiques et d’orientation des visiteurs. Petit détail en passant, si vous voulez suivre la tendance vestimentaire : quelque soit la température extérieure, la tenue de rigueur est jeans, bottes de cuir et chapeau Stetson.

Journée 1 : Golf et speed conférences
La 1ère journée s’ouvre traditionnellement sur un tournoi de golf, suivies de conférences d’une trentaine de minutes maximum. Trois ou quatre conférences ont lieu en même temps. Nous avons donc dû faire des choix :

1°) « La convergence marketing : E-mailing, média sociaux et service client ne font qu’un ! » par Corey Ryan de Ryan Solutions :
Nous y apprenons – à notre grande surprise – que les lundis, vendredis, samedis et dimanches sont les meilleures journées pour envoyer des e-mails si l’on souhaite maximiser son taux d’ouverture. Les autres jours, il y a trop de « bruit » et les internautes sont moins disposés à lire des e-mails qui touchent à leurs activités personnelles. Pour ce qui est des campagnes d’e-mailing commerciaux spécifiques aux stations de montagne, celles lancées du 15 octobre jusqu’au 15 Janvier sont les plus performante. Une fois  la mi-janvier passée, les taux d’ouverture des e-mails chutent drastiquement. Pour la saison d’été, l’idéal est de faire partir sa campagne du 25 juin au 5 Juillet. Cela nous semble bien tardif pour déclencher un achat de vacances en montagne, même en période estivale. Toutefois, il est important de préciser que ces résultats ne sont valables que pour le marché américain. Or, culturellement les habitudes d’achats et de consommation des vacances sont très différentes de celles des européens et des français en particulier.

Corey Ryan fait apparaître très justement que 69% des destinataires des e-mails utilisent leurs téléphones mobiles pour lire leurs messages avant de les lire à nouveau sur leurs ordinateurs. Or 70 % d’entre eux les détruisent immédiatement si ça ne les intéresse pas ou si le message ne s’affiche pas correctement sur leurs téléphones. Pour maximiser son taux d’ouverture, il est donc essentiel que les e-mails s’affichent correctement. Par ailleurs, Corey Ryan ajoute que plus les images sont qualitatives et larges, plus le taux d’ouverture sera important (en moyenne 21% de plus pour une station comme Squaw Valley, CA) ! Dans la foulée, il indique que la personnalisation de ces visuels en fonction du type de vacances que les gens ont acheté améliore très nettement le taux de lecture effective des e-mails. Ainsi, utiliser des photos avec des enfants pour les personnes qui viennent avec leur famille, ou avec des groupes d’amis ou des couples pour ceux qui viennent en tribu ou en couple permet aux destinataires de se sentir plus concerné par le contenu du message véhiculé dans l’e-mail, même si le contenu textuel de celui est strictement identique. Du bon sens, nous direz-vous !

Corey Ryan suggère ensuite plusieurs idées d’e-mailing :

  • Envoyer un mail pour l’anniversaire de la dernière réservation faite par le client avec le message disant : «  le même jour l’année dernière, vous aviez réservé votre séjour chez nous. Nous espérons que nous pourrons vous revoir cette année encore ! » ;
  • Il précise aussi que les e-mails comportant des informations sur la météo sont ceux qui ont le plus gros taux d’ouverture.
  • Envoyer un mail de préparation du séjour 5 à 7 jours avant l’arrivée des clients pour leur donner des infos pratiques sur leur arrivée.
  • Envoyer un e-mail de bienvenue le jour d’arrivée semble très apprécié, car les clients sont de plus en plus nombreux à venir avec leur ordinateur ou, au moins, avec leur Smartphone. Dans cet e-mail, il convient de souhaiter la bienvenue aux visiteurs et de leur donner des infos pratiques du type : météo de la semaine, animations quotidiennes, activités disponibles, événements, promotions dans les restaurants/loueurs de matériel de ski, etc.
  • Envoyer un e-mail le lendemain du départ des vacanciers pour les remercier de leur séjour, recueillir leur avis et leur demander de poster un petit message sur les réseaux sociaux. Il convient aussi de leur glisser une proposition de séjour pour l’année prochaine avec un tarif spécial « clients fidèles » en intégrant les dates de vacances par zones pour l’année n+1.

Enfin, l’intervenant termine sa présentation en prenant l’exemple de Telluride (CO), où 52,3 % des clients déclarent être actifs sur les média sociaux – essentiellement sur Facebook (35%), mais très peu sur Twitter (1,4%) – alors que moins de 30% sont fans de la page de la station sur Facebook. Il précise, qu’en moyenne aux USA, seulement 22% des visiteurs suivent les flux d’informations sur les média sociaux de la destination dans laquelle ils passent leurs vacances.

2°) « Augmenter la profitabilité de chaque client » par Michael McDermott de Active Network :

L’intervenant était censé nous expliquer comment générer autant de revenus que possibles par visiteur en créant un maximum d’occasions de dépenses et comment avoir plus de « bons » clients et éliminer les « mauvais » en utilisant les données collectées dans ses fichiers clients. Malheureusement, sa présentation s’est révélée être une sorte de long monologue publicitaire sur les activités de sa société. No comment.

3°) « Innovation Showase » :

Nous avions déjà assisté à ce type de présentations lors de l’International Tourism Symposium 2011 à Zermatt. Le principe est simple, dynamique et particulièrement agréable pour découvrir très rapidement des entreprises innovantes : chaque entrepreneur a 3 à 5 minutes maximum pour présenter sa société et/ou son dernier produit. Parmi les 14 entreprises présentes, nous avons ainsi pu voir :

  • Siriusware qui intègre des lecteurs de cartes bancaires et de codes barres sur les téléphones mobiles ;
  • American Locker qui commercialise des casiers dans lesquels il est possible de recharger ses appareils électroniques (Tél, PC, iPad) pendant qu’on va skier ;
  • Leitwind qui fabrique des éoliennes pour les stations de ski ;
  • Elan qui est venu présenter son nouveau modèle « Amphibio »… très impressionnant !
  • Doppelmayr qui venu parler de leur système de protection pour les enfants sur les gardes-corps des télésièges. Il faut savoir que culturellement aux USA, personne ne baisse le garde corps… quand il y en a, car c’est loin d’être le cas partout ! Or, cet hiver, plusieurs enfants sont décédés en chutant de télésièges aux USA.
  • Liftopia qui propose depuis 5 ans du yield management appliqué à la vente de forfaits de remontées mécaniques. Ils essayent doucement de pénétrer le marché européen, mais rencontre beaucoup de résistance car, si ces pratiques sont courantes et très bien acceptées pour les compagnies aériennes, les sociétés de remontées mécaniques semblent ne pas percevoir tout l’intérêt de ce mode de gestion des flux.
  • Leitner-Poma / Sigma qui est en train de développer le « Las Vegas Linq Project », une roue de 167 m de hauteur avec des cabines pouvant accueillir 40 passagers, avec des dizaines d’écrans plasma à l’intérieur, une station iPod pour avoir sa propre musique… mais pas de toilette, or le tour durera 30 minutes !

Rendez-vous ici pour le résumé de la deuxième journée de cet événement !

Yakatag : quand le shopping devient social et mobile !

Le e-commerce représente aujourd’hui 31 milliards € en France, soit plus de 4 % de l’ensemble des achats des français*. Il ne cesse de se développer puisqu’il connaît un taux de croissance de près de 24% entre 2009 et 2010*. Pas étonnant donc que le « shopping social » – le nouveau buzzword de l’année 2011 – soit sur toutes les lèvres et que quelques entrepreneurs malins aient vu une brèche dans laquelle s’engouffrer. C’est ce qu’ont fait Laure Lefèvre et Maxime Barbier en créant Yakatag.

* Source : FEVAD

On ne vous fera pas de grand discour, car tout est très bien expliqué dans la vidéo (Durée : 1’20 – français). Mais en résumé, l’idée est que Yakatag est le premier réseau mobile de Social Shopping. En d’autres termes, c’est un réseau de recommandation géolocalisée permettant d’utiliser son mobile (iPhone ou smartphone via une application téléchargeable gratuitement sur l’AppStore et l’Android Market) pour échanger des coups de cœur shopping, traquer les bonnes affaires et les partager en temps réel avec sa communauté.

On vous laisse découvrir à quoi ressemble ce nouveau développement du m-commerce :

Comme ils disent « Yakatag, Ya’ plu’ ka ! » 😉

Une rapide introduction à la géolocalisation sociale… vers le web 3.0 ?

On vous parle de plus en plus de Foursquare (ici et ), de Facebook Places et des possibilités qu’offrent ces outils pour faire du « commerce social » (voir notre article sur l’Epic Mix à Vail). En faisant notre travail de veille quotidien, nous avons trouvé cette présentation réalisée par l’agence NiceToMeetYou qui constitue une bonne introduction à la géolocalisation sociale et aux opportunités de développement d’outils de vente sociaux en situation de mobilité. Serions-nous en route vers le web 3.0 ?

Facebook Places

On ne vous a jamais vraiment parlé de Foursquare, ni des plateformes sociales de géo-localisation équivalentes sur le blog de SWiTCH. Et pour cause, nous savions depuis un moment que Facebook travaillait au développement d’une fonctionnalité identique. Cela dit, au lieu de créer de toute pièce leur propre application de géolocalisation, les équipes de Mark Zuckerberg ont été plus malines. Elles ont préféré mettre en place des partenariats avec les players existants (foursquare, Gowalla, Yelp et Booyah) pour autoriser Facebook Places à utiliser les applications déjà existantes.

Nous ne rentrerons pas plus dans les détails techniques aujourd’hui, mais on vous laisse découvrir une vidéo (durée : 2’28) qui vous expliquera tous les avantages et le fonctionnement de cette nouvelle fonctionnalité :

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