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Pourquoi les adolescents se désintéressent de Facebook ?

Difficile à croire tant le réseau est synonyme d’image jeune et archi-branché ! Pourtant, une étude réalisée par l’institut Piper Jaffray illustre comment Facebook est nouvellement boudés par les adolescents.

A la question : « Quel est le réseau social le plus important pour vous ? » 42% des adolescents ont répondu Facebook en 2012 contre 33% en 2013.

Cette chute spectaculaire est contrebalancée par une augmentation de la popularité des réseaux tels que Twitter, Instagram ou Tumblr.

Comment expliquer cette tendance ? Les adolescents sont lassés du partage compulsif et systématique, ce qui les a amusés un certain temps les effraye à présent. Trop de mises en garde contre les contenus générant une réputation irréversible les ont éloignés de la plateforme. La pérennité de leurs actes est trop lourde pour ces ados qui sont encore insouciants et spontanés. Ils ont besoin d’une instantanéité sans conséquence. Les réseaux de messagerie ou de partage de photos à utiliser sur Smartphones voient ainsi un succès croissant.

Une application comme Snapchat permet de prendre une photo avec son téléphone portable de l’envoyer à un ami, qui la reçoit, rigole, puis la photo disparait. C’est la beauté de l’instant qui prime, pas la qualité de la photo. Il n’y a pas de trace gênante, juste un moment partagé entre amis.

WhatsApp bat des records de messages échangés par jour. Cette application de messagerie instantanée ayant la même fonction que les sms, mais sans avoir à payer pour le service connaît un succès considérable auprès d’une classe de population a faible pouvoir d’achat.

Twitter gagne également en popularité avec une deuxième place dans le classement de popularité des médias sociaux. 30% des adolescents ont voté pour ce réseau comme étant le plus important à leurs yeux.

Le géant précurseur de l’échange et du partage intensif voit ses limites se dessiner progressivement. La jeune classe a encore une fois voté pour des contraintes quasi nulle et une liberté grandissante.

 

Illustration : http://mcetv.fr

Un agent d’accueil sur site web, c’est possible !

On vous parlait dernièrement de l’utilisation de la messagerie instantanée dans un cadre professionnel. Dans cette lignée et pouvant être appliqué dans un cadre touristique, il existe désormais des services tels que www.zopim.com ou www.iadvize.com (gratuits à l’essai quelques temps, puis payants).

Le système peut-être installé sur le site web d’un office de tourisme par exemple. Le visiteur se pose une question, il ouvre la fenêtre et la pose en direct. Côté utilisateur, cela ressemble fortement à un système comme celui de Windows Live Messenger, en beaucoup plus simplifié. Côté office de tourisme, le système peut être rattaché à une interface Google talk ou Messenger.

De nombreux sites possèdent déjà un système d’agent virtuel (Voyages-sncf, MMA ou encore IKEA). Mais leur fonctionnement est totalement automatisé : vous posez votre question, ils l’analysent suivant les mots clés présents et cherchent la réponse préenregistrée…ou vous indiquent d’appeler un réel agent par téléphone !

Ce qui change ici, c’est qu’il y a une personne réelle derrière son ordinateur qui vous répond instantanément. Beaucoup plus précis, et surtout bien plus humain et convivial ! Certes, cela force une personne à être constamment présente et disponible pour répondre aux questions. Mais qu’il soit derrière son guichet ou derrière son écran, le client s’attend à ce que l’agent d’accueil soit disponible pour répondre.

Après avoir essayé le système, nous sommes convaincues qu’il a de beaux jours devant lui. Pour un contact rapide tel que dans le cadre d’une demande de renseignement ou d’une réservation, c’est très pratique. Si la demande est plus longue, alors il est toujours possible d’appeler ou de se déplacer à l’office de tourisme.

Les messageries instantanées en une image

Que ce soit Skype, Windows Live Messenger ou Yahoo! Messenger, nous utilisons de plus en plus les messageries instantanées (dites « IM » pour les intimes) pour échanger. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, seulement 32% des utilisations le sont dans un cadre professionnel. Pour comprendre l’ampleur de ces outils dans le monde, Royal Pingdom a modélisé tout ça en une image.