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Chromecast, la nouvelle pépite de Google pour la TV connectée

Très gros succès outre atlantique, Chromecast de Google a été lancé en France il y a quelques semaines. Une bonne occasion pour découvrir l’utilité de l’un des produits phares du géant américain.

Chromecast est un connecteur HDMI qui est connectable à toutes les télévisions dotées d’un tel port. L’utilisation de cette clé permet de transmettre sur une télévision des flux provenant d’autres appareils type Smartphone, tablette ou ordinateur. C’est par l’intermédiaire de ce produit que Google souhaite démocratiser tous ses contenus, et ce, quel que soit l’appareil utilisé.

Une fois connecté, Chromecast permet à ses utilisateurs de regarder des vidéos via leurs écrans TV sans devoir effectuer des branchements souvent contraignants. Cette clé offre tous les avantages d’une télévision connectée sans pour autant en posséder une. Les tablettes tactiles et les smartphones pourront être utilisés comme des télécommandes qui feront les relais.

Le monde évolue vers une offre spécialisée et adaptée aux utilisateurs. La perspective d’aboutir vers une expérience télévisuelle parfaitement ciblée est un atout de plus dans le jeu de la firme californienne.

En mettant les appareils connectés au centre de l’expérience, Google ouvre la voie vers un nouveau type de visionnage. Le prix d’achat de ce petit appareil dépasse celui de ses concurrents, 35 euros contre 110 pour l’Apple TV. A défaut de son principal rival, Chromecast est compatible avec iOS et Android, ce qui lui permet d’atteindre tous les consommateurs. Google souhaite ainsi se démarquer en ouvrant Chromecast à d’autres développeurs. Des éditeurs externes comme YouTube pourront également profiter de la croissance de ce type de produit, en augmentant la diffusion de leur contenu.

Le concept de TV connectée n’est pas nouveau. Cependant, le principe d’utilisation en simultané d’Internet et de la télévision représente un nouveau marché pour les groupes technologiques qui entendent bien en profiter. Les premiers chiffres des ventes montrent que les early adopters français ont bien accueilli Chromecast. Les éditeurs doivent donc rester très attentifs aux comportements des consommateurs vis-à-vis de ce type de produit.

Comment créer une chaîne YouTube percutante ?

Huit ans après son lancement, YouTube compte officiellement 1 milliard d’utilisateurs par mois et près de 100h de vidéos uploadées chaque seconde ! Au milieu de cette masse de contenu, le service vidéo de Google offre aux marques la possibilité d’accroître leur visibilité sur le réseau, notamment via les chaînes. Focus.

Hiérarchiser et organiser les vidéos d’une chaîne est tout d’abord primordial pour offrir sens et clarté à l’internaute. En ce sens, des playlists peuvent être crées à volonté selon des thématiques choisies (évènements, produits, activité interne etc.) afin de regrouper les vidéos. Nous avons sélectionné la chaîne YouTube de la marque Petzl pour illustrer ces propos.

 

Il est indispensable d’attacher de l’importance au design de la chaîne et de choisir des visuels caractéristiques de la marque. Les nouvelles chaînes lancées depuis peu permettent dès à présent, en plus du logo, d’uploader une bannière figurant en haut de page. Lier la chaîne YouTube de la marque à son site web ou d’autres comptes sociaux – par des liens visibles sur la bannière – est également un moyen efficace de valoriser sa présence sur d’autres plateformes en lignes ! Évidemment, attention à choisir un titre de chaine pertinent et dont l’url sera référençable facilement sur le web.

Pour ce qui est des vidéos, la HD est quasi-indispensable (au moins 720p) pour une chaîne qualitative, tant sur le contenu que sur la forme. Certains formats comme .mp4 offrent de meilleurs résultats. Il est important de choisir également une miniature vidéo qui soit percutante et visuellement attractive. Il faut que l’internaute ait envie de cliquer ! Enfin, mettre en valeur une vidéo est possible : celle-ci se retrouve en haut de page, en grand format et prête à la lecture.

 

 

Autre point essentiel à considérer, voici les mots clés. Ces derniers permettent d’être visible sur le moteur de recherche YouTube mais plus généralement sur du référencement global. Attention donc à choisir des titres de vidéos courts, pertinents et contenant les mots clés caractéristiques. La description est également clé et doit être soignée, tout en sachant qu’elle est coupée dès 180 caractères (clic nécessaire au-delà pour que l’internaute voit le reste de la description). Évidemment, renseigner le champ « Tags » est plus que nécessaire lors de l’upload d’une vidéo. Là encore, choisir des termes pertinents et susceptibles d’être tapés par l’internaute lors de sa recherche.

Lier les vidéos entre elles ou bien créer une passerelle directe vers la chaîne YouTube – via les annotations – est un autre moyen de développer le trafic des vidéos de cette même chaîne. Situé sous les vidéos (si connecté en tant qu’administrateur), l’onglet Annotations permet d’ajouter des liens cliquables sur une production. Attention cependant à ne pas en abuser. Mieux vaut les placer discrètement et temporairement au début/fin de la vidéo pour ne pas être trop intrusifs. Cette mise en réseau des vidéos (tout en gardant une cohérence sur les thèmes des vidéos) permet une meilleure visibilité de celles-ci et au final de la chaîne liée.

Panorama des médias sociaux 2013

Cette année encore, le site médiassociaux.com publie son panorama 2013 et passe en revue les médias sociaux qui feront l’année 2013. Bien que le trio de tête (Facebook, Twitter et Google+) reste indétrônable, des changements sont à noter sur certaines tendances d’utilisation. Focus.

Les médias sociaux basés sur la photo (Pinterest, Instagram, Tumblr) sont ainsi plus que jamais en croissance et connaissent un engouement croissant de la part des internautes. Parallèlement, on observe un développement rapide de services de messagerie instantanée sur mobile tels que Whatsapp. A l’évidence, l’année 2013 sera globalement marquée par les applications sociales sur mobile, celles-ci permettant toujours plus d’instantanéité, de mobilité et une meilleure facilité d’utilisation. Certains médias sociaux asiatiques (Renren, Mixi) ou russes (VKontakte) connaissent également une forte croissance.

A l’inverse, on observe une disparition des médias sociaux de géolocalisation type Foursquare de ce panorama. Les utilisateurs semblent en effet se lasser de ce type de service social, peu de fonctionnalités novatrices ayant vu le jour jusqu’à maintenant. Le site souligne également la mise hors-course de certains médias importants comme Posterous, racheté par Twitter. Enfin, les médias basés sur les jeux sociaux et le social commerce n’apparaissent plus dans le panorama, étant considérés comme en perte de vitesse.

Comment faire certifier ses comptes sociaux ?

Faire vérifier et certifier votre page sur les réseaux sociaux reste un moyen sûr de faire rayonner votre image de marque de façon officielle et ainsi de minimiser certains risques liés à l’identité en ligne. Cela peut également  attester d’une certaine qualité et crédibilité de votre contenu. La certification se caractérise de façon générale par un logo positionné près du nom de page. Voici quelques explications sur les réseaux sociaux les plus connus proposant un tel système.

Twitter
Certainement le procédé le plus flou des trois réseaux ci-dessus, la certification Twitter reste concentrée sur des personnalités et utilisateurs reconnus du grand public. Certains critères comme le nombre de followers n’entrent pas en compte selon Twitter. De fait, il n’existe pas de démarche à proprement parler. Twitter se charge de contacter les titulaires des comptes éligibles afin d’en vérifier l’authenticité et attribue à sa guise le fameux logo bleu. Vous pouvez toujours tenter de contacter l’entreprise pour lui soumettre votre demande mais un mot d’ordre semble s’imposer : la patience !

Google +
Google propose depuis 2011 une vérification des pages, notamment auprès des entreprises et organisations. Plusieurs pré-requis sont nécessaires avant de soumettre votre demande :

  • Un lien vers le site web de votre organisation doit être placé sur la page en question ;
  • Votre site web doit être lié à Google+ par un badge ou un code placé dans la racine ;
  • Votre page doit avoir un certain nombre d’abonnés avant de pouvoir accéder à la procédure.

Vous êtes au point ? Passez donc à la dernière phase et remplissez le formulaire de demande de Google+ !


Pinterest
Depuis octobre 2012, il est possible pour tout utilisateur de Pinterest de certifier son compte via la vérification de son site Internet. La démarche est simple : il suffit d’intégrer un fichier HTML de validation à votre site web pour une certification quasi instantanée de votre compte Pinterest. Pour obtenir ce fichier :

  • Une fois connecté à votre compte, cliquez sur « Paramètres » ;
  • Cliquez ensuite sur « Verify Website », à côté de l’adresse de votre site Internet ;
  • Votre fichier HTML personnel à télécharger apparaît. Vous n’avez plus qu’à l’enregistrer et le placer dans la racine de votre site web ;
  • Sélectionnez « Click here » pour terminer le processus. Le logo de validation apparaît alors sur votre profil.

A noter qu’il existe une alternative, à savoir la validation par meta tag. A vous de jouer !

Qui sont les utilisateurs de Google + ?

Le succès possible (ou l’échec !) de Google + fait débat sur la toile depuis son lancement officiel. Il y a une dizaine de jours, Website Monitoring a partagé les résultats d’une étude présentant les données démographiques des utilisateurs de ce réseau social. Après avoir identifié les États-Unis, l’Inde, le Brésil, le Royaume-Uni et le Canada comme étant les cinq premiers pays les plus représentés, un nombre important de critères ont été passé en revue. Nous vous laissons découvrir tout cela dans l’infographie suivante :

[Mise à jour] Que se passe-t-il sur le web en 60 secondes chrono ? (En une image)

La mise à jour de cette infographie vient de sortir. On constate donc qu’en une minute :

  • 2100 check-in sur Foursquare ;
  • 18 Kindle fire sont vendus contre 81 iPad ;
  • 925 iPhone 4S qui sont vendus à travers le monde, contre seulement 130 BlackBerry !
  • 11 millions de conversations sont réalisées par messagerie instantanée ;
  • Google réalise 75 000 $ de revenus ;
  • 4000 clés USB sont vendus, ce qui démontre que les solutions « Cloud » ont encore un gros travail d’évangélisation à mener ;
  • Plus inquiétant : 12 sites web sont attaqués par des hackers et 416 sont en cours de tentative, 38 tonnes de e-déchets sont générés .
  • etc…

Et vous, que faites-vous en 60 secondes chrono ?

Qui sont les utilisateurs de Google + ? (En une image)

Depuis le lancement de Google + l’été dernier, vous vous demandez surement qui utilise vraiment ce réseau social ? La réponse figure dans l’infographie ci-dessous réalisée par Flowtown en partenariat avec Column Five media.

Ce qu’il faut en retenir en 5 points :

  • 40 millions de comptes ouverts depuis le lancement de la plateforme, mais 83 % des personnes ayant créé un compte sont en réalité inactives ;
  • 63 % d’hommes et donc 37 % de femmes ;
  • Le segment d’utilisateurs les plus importants sont les 24 – 35 ans ;
  • 27,7 % des utilisateurs de Google + gagnent entre 60 000 et 99 999 US $ / an, 26,9 % entre 30 000 et 59 999 US $ / an et pas moins de 12,3 % d’entre eux gagnent plus de 150 000 US $/ an ;
  • Seulement 61% des 100 plus grandes marques au monde ont créé un compte sur Google +.

Le monde des média sociaux en 2011

Pour commencer la semaine, voici une vidéo sympathique, réalisée  par VideoInfographs.com, qui vient compléter celle d’Erik Qualman que nous avons publié en juin dernier au sujet de l’évolution des principaux média sociaux. On admettra parfois que certains chiffres datent un peu (48h de vidéo uploadée sur YouTube chaque minute et non 35h comme énoncé), mais pour le reste, dans l’ensemble, les informations sont à jour.

Si vous n’avez pas le temps de tout regarder, voici quelques données retenir :

  • 1736 tweets par seconde ;
  • 15 fois la population de New-York sur LinkedIn ;
  • 136 000 photos envoyées sur Facebook par minute ;
  • 150 000 000 photos sur Instagram ;
  • 490 000 000 visiteurs uniques par mois pour YouTube ;
  • 2 000 000 de check-ins par semaine sur Foursquare ;
  • Les femmes sont plus actives que les hommes sur les médias sociaux.